Au lieu d’interviewer ces quatre "maître à penser européistes" grand chefs cuistots de la langue de bois, tous d’accord sur l’assaisonnement de la sauce, il aurait été intéressant d’entendre, sur ce sujet Vincent Brousseau ou François Asselineau.
Ils ont des choses à dire que nos médias spécialistes du bourrage-de-crâne-et-formatage-de-la-comprenette ne veulent surtout pas que l’on sache.
Pas compliqué : cliquez sur upr.fr