C’est un slogan. Un mot de ralliement. Une façon d’affirmer son ras-le-bol.
Soral étant dépeint par la presse et le gouvernement comme un nouveau Satan, il attire à lui inévitablement tous les mécontents et les opposants.
Au fond, cette dissidence tant décriée est la seule forme d’opposition restante dans ce pays.
Et évidemment, Soral a raison dans beaucoup de ses analyses. Le nieriez-vous ?