Frida Frida 28 septembre 2014 15:23

le génocide arménien est mis sur le dos des francs maçons turcs, ce n’est pas islamique .... ha ha ha ha ha

mais avec l’AKP et Erdogan, comment les Turcs vont se justifier devant l’histoire alors que c’est un gouvernement islamiste qui aux commandes ? le nettoyage ethnique et religieux est à l’oeuvre en Syrie, en Irak et au Liban...grâce aux mercenaires de l’EI et Al Nosra que la Turquie des islamistes de l’AKP arme et fournit la logistique et la base arrière pour leurs opérations de remodelage de Moyen Orient...

les Frappes aériennes ne sont qu’un moyen de consolider l’EI dans une zone frontalière entre la Syrie et la Turquie...une façon concrète d’éliminer le problème kurde ou de le diluer et d’imposer une zone tampon sunnite entre la Syrie et la Turquie...donc exit le problème kurde...
La Turquie oeuvre pour faire éclater la Syrie et l’Irak tout en dominant le problème kurde ...

"« L’organisation que vous appelez l’État islamique peut être vue comme une structure radicale et terrorisante, mais il y a des Turcs, des Arabes et des Kurdes dedans. Les mécontentements du passé ont provoqué une large réaction. (…) Si les Arabes sunnites n’avaient pas été exclus en Irak, il n’y aurait pas une telle accumulation de colère. » Le ministre des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu se livrait le 7 août dernier à un exercice difficile pour éviter de condamner ouvertement l’État islamique et de le désigner comme une organisation terroriste."

Sa déclaration sur la chaîne NTV, qui a été perçue par certains chroniqueurs comme une tentative de légitimation des djihadistes, révélait le malaise d’Ankara.

Officiellement niées, « les facilités » - pour le passage des frontières ou pour l’approvisionnement en armes - que la Turquie aurait procurées aux groupes opposants, dont les djihadistes de l’État islamique, en Syrie ne sont plus un secret. La prise de Mossoul, la tragédie humaine des yazidis au mont Sinjar et la menace que représente l’EI pour les régions pétrolières du Kurdistan irakien ont forcé la Turquie à faire face au mouvement dont elle a favorisé l’essor.

« La Turquie n’aurait jamais voulu avoir à faire à un fléau comme les groupes qui ont une affiliation avec al-Qaida. Comme les autres pays membres de la coalition, elle a considéré comme “frère” tous ceux qui pourraient renverser le régime syrien, sans distinction », explique Fehim Tastekin, journaliste à Radikal. « Depuis 2012, Ankara a aussi mené une politique de soutien aux groupes qui combattaient les Kurdes syriens du PYD, affilié au PKK, pour empêcher la création d’une entité kurde en Syrie. Qui faisait la guerre contre le PYD ? L’Armée syrienne libre, le Front Nosra et l’État islamique. Tant qu’ils empêchaient les Kurdes de contrôler cette zone, il n’y avait aucun problème pour la Turquie. »


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