Arnaulde Schwarzandgueguerre L’Equatorien 10 juin 2014 10:02

Le grand guerrier devant l’éternel qui décide de qui doit être sur la terre ou pas nous offre ici presque une vision réjouissante d’avenir, quand sa tête pend, on dirait qu’il offre sa nuque fraichement rasée à un couperet aiguisé de guillotine qui n’en fera qu’une bouchée avant que sa tête lourde de saloperies diverses tombe comme un fruit trop mur dans un joli panier d’osier... Cette séquence nous prouve au moins que ces pourritures qui dirigent la France au nom d’un pays étranger ne sont que des hommes, frêles, fragiles, sans envergure, qu’une chiquenaude suffirait à abattre une fois pour toute.


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