ffi 4 juin 2014 23:24

Le faible peut s’imposer sur le fort, par chance, par habilité, ou par ruse, mais certainement pas de manière frontale. Par exemple, pensez à David contre Goliath.
 
C’est la raison pour laquelle votre relativisme moral est de mauvais aloi, car il est en fait une faiblesse morale. Au-delà de la force physique, il y a la force d’âme. Mais un relativiste en manque. Il est trop dans la nuance et l’hésitation pour s’opposer victorieusement à des gens pétris de convictions. Le débat rationnel, c’est bon entre amis, qui partagent le principal en commun, mais c’est inefficient face à l’ennemi déterminé à vous détruire, car sa décision est déjà prise et il ne vous écoutera pas.
 
Maintenant, il y a deux manières de venir à bout de la volonté de l’ennemi : soit en combat frontal, par une épreuve de force morale, en espérant avoir une force de conviction supérieure ; soit par la ruse, au moyen de la subversion, en réduisant la force de conviction adverse.


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