Puisque çà se présente sous l’égide de Montesquieu , peut étre faudrait-il en dire deux mots . Montesquieu à bien diagnostiqué le mal : la concentration de la propriété . Mais le reméde : la séparation des pouvoirs n’ a pas suffit à neutraliser les oligarques .
Comme pour Aristote la chrématistique et les couches moyennes ont débordé l’esprit des Lois , par la révolution industrielle et son corolaire : le capitalisme dans la production .
Faut-il pour autant donner raison à Rousseau qui a confondu propriété et possession , comme si il ne savait pas qu’en Suisse la terre est propriété communale .Tomber dans les 3 impasses médiatique monétaire et démocratique . En attendant une miraculeuse et providentielle Révolution qui par la prolifération de petites communautés donnerait de la consistance aux gadgets réformateurs . Non parce que le capitalisme est mort et ne renaitra pas .Ce qu’on continue a appelé comme çà par abus de langage n’ a rien à voir , cela renoue avec la cupidité et la voracité antérieure à Montesquieu et Rousseau mais avec des moyens décuplés . L’utopie ménera à l’état de nature , oui , mais sauvage ...
On a l’imminence d’une guerre mondiale suite logique de la crise financiére , morale et
étatique . En supposant qu’en Ukhraine çà se calme , ce que j’espére , le feu sera encore
sous la cendre .
Il nous reste que peu de temps pour comprendre K Marx , le sortir de l’enfumage marxiste ,passer à l’action , à partir de l’infrastructure . Réapprendre à produire .
Faute de quoi on aura cette dictature du prolétariat , si bien décrite par Aldous Huxcley .
sauf qu’il a omis l’ encadrement par l’armée dans sa prison Benthamite , sans murs .