Bonjour à vous.
Non, la problématique majeure abordée est celle de la mise à disposition des textes classiques arabes en France, et français dans le monde arabophone. Les travaux d’Ibn Khaldoun sont bien abordés en seconde partie d’émission, mais on ne va pas au fond des choses étant donné qu’il est - disons-le - quasi inconnu en France. C’est certes un peu dommage.