Oursquipense Oursquipense 26 février 2014 17:53

Juste des remarques ou réflexions notées au fur et à mesure du document :

- 3’10" on voit le drapeau gay dans la crèche, où est la neutralité ?

- 4’ 56"" "Nous travaillons sur le sexe social" (Quelqu’un a-t-il démontré un our que le sexe social existait ?)

- 6’20" manipulation de Justus par la "pédagogue". Justus dit ne rien avoir envoyé. Notez aussi le rire de gêne de son voisin.

- 7’30" Pourquoi pas une chienne ? C’est quoi ce sexisme ?

- 8’20" Bourrage de crâne. "Hen" n’est pas une troisième catagorie mais plutôt une indifférenciation entre les deux catégories "évidentes".

- 10’20" Le petit garçon ne sait pas mettre une robe, il l’enfile à l’envers !

- 12’30" un contradicteur mais s’il a développé une réflexion elle n’est pas dans le documentaire. On donne de lui l’impression d’une personne butée.

-13’30" VICTIMISATION - couplet sur l’oppression des femmes

- 15’20" Un enfant de deux ans doit-il forcémeent choisir comment il s’habille ?

- 18’ A priori dans cette école on met une jupe lorsqu’on danse (c’est neutre, ça ?)

- 20’ Fantastique ! Les garçons aiment les voitures et la petite fille ne répond pas quand on lui demande. Mais la "pédagogue" fait bien comprendre aux garçons qu’ils sont contents quand ils portent une jupe. Neutralité quand tu nous tiens.

- 24’30" Qui choisit la poupée ? Le père, pas l’enfant.

- 26’ SEXISME !

-30’ Phrase probablement la plus sensée du documentaire, je l’écris (vous pourrez vérifier) : "Dans nos yeux d’adultes les choses sont connottées et transmettre à quelqu’un qui est encore neuf...je n’ai plus de bananes"

-
32 ’ Oserais-je dire un grand classique féminin ? Incompréhension de l’humour forcément vu comme une agression ou une méchanceté.

- 34 VICTIMISATION ! Et il n’y a que des femmes.

- 36’20" Qu’est-ce qui est dingue ? Ne serait-ce pas plutôt la réflexion des mères ?

- 38 ’ 45 " Justus fait le show au milieu de deux filles. Quel stéréotype ! Il comprend rien ce gosse ou quoi ?

- à partir de 40’ - réunion pédagogique où il n’y a que des femmes (sur 6 à 7 intervenants) "Faire ce qu’on veut et ce qu’on aime" = ce n’est ni un principe d’éducation, ni un principe d’instruction.

- 46’ - l’exemple à deux balles (si jamais il est vrai). Bizarre que la prod’ n’ait pas pensé à mettre la chanson de Cure comme musique de fond. 

- 47’ Il n’y a quasiment que des femmes dans l’école. Où est la neutralité ?

- La fin = Justus se considère comme un garçon donc il faut sans doute comprendre que l’éducation neutre ne peut pas influer sur les enfants quant à leur identité de genre. Bon, soit, alors c’est quoi le but ? Etre tolérant vis-à-vis des personnes qui ne se sentent ni fille, ni garçon ou les deux à la fois ? Ce n’est pas déjà un principe d’éducation partout ça ?


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