Jean Valcohen Jean Valcohen 1er février 2014 10:48

Certes les halogènes ne sont pas des lumières, mais il y’a 2 ou 3 notions de bases qu’ils devraient comprendre tout de même, primo et unico, "le nerf de la guerre" dans nos sociétés, le respect que tu inspires et qu’on te témoigne est proportionnel à l’épaisseur de la liasse que tu as sous le matelas, aussi je ne comprends pas pourquoi ils s’entêtent à mettre leurs chères petites têtes crépues dans ces excellents lycées de banlieues .http://www.parisetudiant.com/etudiant/annuaire-lycees/lycee/lycee-de-la-plaine-de-neauphle-trappes/palmares.html 

Les portugais et les asiatiques l’ont bien compris ,l’ascenseur social éducatif ne dessert que les parkings et les sous-sol, il faut prendre l’escalier de service ! leurs enfants arrêtent l’école à 16 ans et ont déjà commencé à travailler depuis l’âge de 12 ans .A 25 ans ils sont propriétaires, ont monté le petit restau "frères Tang" ou éléctricité générale "Goncalves", même les malgaches arrivés avant-hier ont déjà tous leurs petites boites de transport "Rasoamanana" .Ca fait du "black", ce qui donne un niveau de vie confortable, un patrimoine à léguer et ça oblige à la discrétion, les rejetons pourront aller à l’école à Henri 4 ou à La Bruyere et prétendre à des postes de rentiers politicards ou mieux encore à des emplois de services qui ne servent à rien, dans la publicité, le marketing chez Kraft ou LVMH .2 générations plus tard, la famille a une petite résidence secondaire à Cabourg, un petit voilier à La Rochelle, un petit appartement à Marbella et le petit dernier part en séjour linguistique à Sidney à ses 16 ans,a sa petite Prius à ses 18 ans, prends des cours de pilotage à l’aérodrome de Toussus le noble,bref plus personne ne remarque qu’il est pas très "blanco" quand même !

Ceci est une histoire inspirée de faits réels .


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