La petite Belge qui riait déjà elle-même de ses petits cacas gratos sur des ondes belges dont elle fut virée à coups de pompe dans le train pour sa lassante imbécillité autosatisfaite doit apparemment se faire un nom en France.
Handicapée de l’écriture bien que pensant elle-même le contraire, débordante qu’elle est de sa phénoménale suffisance, elle a donc choisi un sujet très risqué : Dieudonné le pestiféré médiatique. C’est porteur, comme on dit.
Sans qu’on invite l’intéressé, bien sûr, la tête creuse de la donzelle en aurait valsé comme dans l’exorciste s’il avait pu répondre à ses brassées de clichés de grosse beaufette.
Mais les lâches ne prennent pas de risques. Ils tirent de loin, tout en faisant un petit peu sous eux quand même.
Au rayon de l’humour, enfin ce qui est supposé en tenir lieu, c’est « boulettes dans le cul », « vieux barbu », "prouts avec la bouche", on est chez Arthur ou Patrick Sébastien, en fait. C’est son niveau, on vous avait prévenus. Je suis Belge, je sais de quoi je parle.
Mais voilà, elle a son petit buzz à peu de frais. Elle existe enfin (un petit peu), comme un parasite ou un pique-boeuf sur le dos d’un buffle.
On ne va même pas la soupçonner de "collaboration à une conspiration", elle est simplement trop fichtrement con. Dieudonné, elle n’y a rien pigé, on doute qu’elle ait vu ses spectacles ou qu’elle y ait compris quoi que ce soit.
On lui déconseillera au passage de trop citer Nabila, le parallèle avec sa propre personne risquant bientôt d’apparaître clairement aux Français aussi.
Enfin, en matière de "chronique", on ne discerne que sa connerie bien alignée. La bêtise mainstream a trouvé une nouvelle petite femme de ménage analphabète. Faut bien bouffer, sans doute.
Si parfois au dessus c’est le soleil, là, en dessous, y’a plus rien, on nage dans le purin. ?