ffi 29 novembre 2013 03:38

Ce que l’on cultive, c’est toujours la nature.
Abolissez la nature, que cultiverez-vous ?
 
L’apologie du transgenre, c’est comme prôner de raser la forêt amazonienne et prétendre qu’il s’agirait de culture...
 
Comment éduquer un garçon à une vie d’homme aujourd’hui ?
Comment éduquer une fille à une vie de femme aujourd’hui ?
 
Ces questions auraient du sens.
 
Mais dire qu’il n’y a ni homme, ni femme, dire que cette distinction flagrante serait un simple stéréotype, c’est en vérité complètement insensé.
 
Si l’éducation nationale ne parvient même plus à distinguer qu’il y a des hommes et des femmes, ce que même un enfant en très bas âge parvient à réaliser, ni à montrer que cette diversité est une richesse, autant abolir l’éducation nationale...
 
Quelle confusion. Toutes les diversités sont glorifiées. Sauf une :
L’altérité homme-femme devrait être éradiquée...
 
Y’a pas de cohérence logique, si ce n’est celle d’une subversion qui agit du plus sommet de l’État. Après l’avortement, la contraception, c’est une nouvelle mesure pour entraver les naissances, un des critères qui permet de caractériser les crimes de génocides, en compagnie de la soumission d’un groupe à des violences physiques ou de conditions économiques périlleuses.
 
J’aimerais que les gens analysent ces critères de caractérisation des génocides.
La politique suivie en France y correspond de manière stupéfiante.


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