Guit’z 7 novembre 2013 15:15

@ Eric

Votre message n’est pas confus, il est lumineux.

Là est le cœur du débat en effet, et l’essence même de la fiction contemporaine : que revoir nos exigences morales à la baisse nous condamne à plébisciter des incapables.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe