Emile 18 septembre 2013 13:06

Bonjour Mr. Guéguen
Le mots "reprocher" est peu pertinent car trop négatif par rapport à vos dires. Pour éclaircir mon propos : cet aspect négatif me revient, car c’est moi qui pencherais à lui reprocherais son, sois disant, choix de monarchie pour la France (actuel de 65M d’habitants). Cela dit, le faire, serais anachronique, car nous disposons, aujourd’hui, de quoi pallier la distance et le nombre donc il est difficile, je pense, de s’avencer sur la pensé d’un Rousseau moderne.
Peu d’hommes ont pu anticiper les avancés technologiques 300 ans avant l’heure.  
Pour ce qui est de son égout pour le progrès, il sera forcément accompagné d’une ivresse quand à l’ouverture des possibilités techniques, bien que son premier sentiment persistera de par son conservatisme (caractère que je dois avouez ne pas lui connaitre...).
Je pense également qu’il serait consterné face l’idée politique "moderne"
  
Je vous précise ne pas non plus être un expert des théories proudhoniens, surtout en ce qui concerne leurs application et les phases de transitions...
Tout d’abord j’aimerais critiquer ma façon d’amener le principe de fédération, le dire comme je l’ai fais n’est qu’une "boite vide" qu’il faudrait remplir d’un contenu, à mon sens, solidement démocratique. En premier lieu le respect de subsidiarité, c’est à dire que les responsabilités doivent être prisent par le plus petit niveau d’autorité publique compétent pour résoudre les problèmes.
Par paresse et manque de temps j’aimerais vous indiquer ce site extrêmement dense, complet et, à mon sens, pertinent, du moins de ce que j’en ai vus. Je vous conseil vivement la rubrique Atout pique ^^
Je vais quand même vous donner mes impressions, très personnel, par rapport à votre question : J’ai, récemment, perdu mon patriotisme... Et je ne saurais plus dire à qui devrait appartenir légitimement la France, puissance construite sur le dos de nombreux peuples... Mais cette ensemble de richesses concentrées, pourrais, sur base de la culture française transcendée de son histoire (la "vraie", du moins je pense, celle que nous propose Guillemin), faire plus de bien dans l’état actuel que "re-dispatché" au sein des puissances montantes. C’est donc par espoir que j’en vient à défendre la nation française. 
Par manque d’expertise je ne peut qu’espérer que le le fédéralisme démocratique soit compatible avec la notion de Nation.
Je pense que cela sera directement décidé par les potentielles cité, département, régions fédérées. La décision portera notamment lors de la détermination des programmes scolaires, en histoire particulièrement. Tous dépend de l’insistance qui sera faite à l’égard de l’ancienne France nouvellement fédérée. 


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