Karvok 3 juillet 2013 16:36

Un peu de racisme datant du siècle dernier, non pas de la mondialisation mais de la nationalisation :

"Les Bas-Bretons ont un langage dur et difficile à comprendre. Leurs habitudes, leurs coutumes, leur crédulité et leurs superstitions leur laissent à peine une place au dessus de l’homme sauvage. Le paysan y est d’une malpropreté dégoutante. Son habitation peut presque se comparer à celle d’Hottentots(...) En général les paysans ont une mauvaise physionomie, stupide et brutale à la fois".
 
"Le petit Breton est abandonné à lui-même dès qu’il peut marcher. A peine vêtu, malpropre, il patauge toute la journée par les chemins, mange à l’écart un morceau de pain noir, joue peu, ne parle pas(...) S’il a huit ans d’âge physiquement, il en a trois à peine pour le développement intellectuel..."
 
Concernant les Ardéchois venus travailler dans les Salins d’Aigues-Mortes :
"Les figures des gens que l’on rencontre n’ont rien de commun avec celles de la plaine. Uniformément pareilles, elles frappent par je ne sais quoi de lourd et d’inachevé, surtout chez les femmes(...) Dans l’épaisseur de larges crânes, la pensée bat d’un rythme très lent, l’excitation quotidienne du journal ne l’a pas encore activé".
 
"Si vous passez un jour à l’heure de midi, vers Mont-Sait-Martin ou Villerupt, près d’une des nombreuses cantines italiennes, votre odorat est désagréablement chatouillé par des odeurs d’abominables ratatouilles. Des vieilles sordides, à la peau fripée et aux cheveux rares, font mijoter des fritures étranges dans des poêles ébréchée et les bêtes mortes de maladie, à des lieux à la ronde, ne sont pas souvent enfouies, elles ont leur sépulture dans l’estomac des italiens, qui les trouvent excellentes pour des ragouts dignes de l’enfer. Toute cette cuisine diabolique passe encore sous le ciel bleu de l’Italie, et fait d’ailleurs partie de la "couleur locale" des quartiers pauvres de Rome ou de Naples. Mais il en est tout autrement en Lorraine, où la saleté chronique et la façon de vivre déplorable des italiens font courir de sérieux dangers de contamination à la population indigène".
 
Mondialistes, continentalistes, nationalistes, régionalistes, différentes échelles, mêmes pourritures.
C’est d’ailleurs très curieux de voir les nationalistes d’aujourd’hui défendre les régions, genre GI(joe), alors que ce sont les nationalistes d’hier qui ont massacrés les cultures régionales pour imposer la culture française.
De même que les nationalistes purs et durs qui sont arrivés au pouvoir ont tous tentés... de conquérir le monde.
Ou encore de voir les nationalistes français cracher sur les sionistes ou les zétazunis, qui ne sont l’un comme l’autre que des nationalistes forcenés tentant, comme tout nationaliste qui se respecte, d’étendre ses frontières par tous les moyens, écrasant citoyens comme étrangers pour le profit de quelques bourgeois.


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