Je n’ai pas encore écouté l’émission, mais je connais les points de vue de Finkielkraut sur la question et il ne se renouvelle que rarement.
Cela dit, il faut un certain courage, aujourd’hui, pour critiquer la démocratie.
La démocratie, c’est la rencontre d’un "démos" et d’un "cratos".
Le "cratos", on se plaît à le conspuer tant on s’en sent la victime.
Le "démos", on le critique beaucoup moins tant on se sent visé.