Le témoignage poignant de Lizzy Phelan, on s’en souvient encore ... c’était il y a bientôt un an à présent ... juste après l’assassinat assisté de Khadafi !!!
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rapports en provenance de Libye et de la Syrie

(traduction automatique Wiki.)

Phelan a affirmé avoir été témoins de crimes de guerre présumés dans l’ intervention militaire en Libye 2011 , engagée par le Conseil national de transition avec la complicité de l’OTAN en Septembre. [11] [12] Phelan a affirmé qu’il y avait des exécutions sommaires de membres de la tribu Qadhadhfa par les membres du Conseil national de transition :

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Lizzie Phelan a été parmi les journalistes emprisonnés à Tripoli Rixos Al Nasr hôtel par les forces gouvernementales libyennes entre 20 et Août Août 24, 2011, d’où elle fait des déclarations inexactes sauvagement sur  ??son blog, y compris citant le porte-parole du gouvernement Dr Ibrahim Moussa que le gouvernement libyen eu "75 pour cent" repris Misrata [13] [14] et de nier que les forces rebelles (qui elle, imitant Kadhafi, appelé « rats » [13] [15] ) se rapprochaient de Tripoli [16] [17] [18] alors même que la ville tombe aux mains de leur avance. Plus tard, elle a apporté des corrections partielles sur son blog [19] . Lorsque Tripoli puis tomba aux mains des rebelles, elle a été évacuée par la Croix-Rouge à l’Hôtel Corinthia. Elle a pu quitter Tripoli sur un bateau de pêche sur Août 29 à Malte avec l’ancien membre du Congrès américain Walter E. Fauntroy qui avaient également été portées disparues au cours de sa mission de négociation en Libye. [20] Phelan a fustigé l’ouest et le CCG presse pour ne pas pour traiter les réclamations faites par le plomb Jamahiriya arabe libyenne par le gouvernement fin le leader Mouammar Kadhafi avec un poids égal de celle de l’ouest soutenu par le Conseil national de transition

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En ce qui concerne la Libye, elle a accusé les médias de ne montrant partiellement la réalité des atrocités commises par les rebelles de l’OTAN quand le but du changement de régime a été accompli, et a accusé les journalistes traditionnels d’agir comme espions pour les services de renseignement occidentaux :
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"En plus de cela, il est bien connu que les grands médias est sous contrôle oligopole par la classe dirigeante et ainsi de toute prétention à une presse libre et indépendante est une farce. Il a été bien documentée tout au long de l’histoire des guerres impérialistes de l’Occident la manière dont cette relation intime entre les médias et la classe dirigeante permet à ce dernier d’utiliser « reporters » que ses yeux et ses oreilles sur le terrain. En Libye, ce n’était pas différent et certains chercheurs et journalistes indépendants sur le terrain sans surprise découvert la preuve que lorsque les "journalistes »ont été pris pour visiter les sites de bombardement, au lieu de rapporter la détérioration des infrastructures et la perte de la vie civile avec précision à l’opinion mondiale, ils étaient simplement là pour prendre note de ce qui n’avait pas été détruit. Et on ne peut que conclure qu’il s’agissait de rendre compte aux services de renseignement afin que le site pourrait être ré-bombardé (comme ils le plus souvent étaient)  »