Je suis comme pas sûr d’avoir bien compris, là. C’est parce que le pueblo, il était pas assez unido, qu’au Chili, il a été vencido par les généraux du Golpe ?
Bon, question divisions, il faut bien dire qu’aujourd’hui encore, le général Pinochet conserve des partisans et, à ce que j’en ai vu, c’est pas du côté des Chiliens friqués, qu’on imagine bobos socialisants comme en France...