"Ceux qui accusaient le front de gauche d’avoir une stratégie irréaliste
en tablant sur un changement des rapports de force politiques en Europe
pour réorienter l’UE sont totalement désavoués par l’exemple grec."
Il faut être plus que drôlement gonflé pour écrire cela alors
que la Grèce est loin d’être au milieu du gué, puisque le Tsipras vient à
peine de tester la température de l’eau du bout de ses orteils.
"...mais aussi avoir le courage de directement la remplacer par Die Linke
plutôt que de choisir une nouvelle alternance avec le SPD ?"
Vous devriez quand même vous informer un peu avant d’écrire,
puisque les élections du 13 mai en Rhénanie du Nord-Westphalie, ont
ramené Die Linke de 5,6 à 2,5 %, celles du 6 mai dans le Schleswig-Holstein, de 6 à 2,2 %, celles du 25 mars en Sarre, de 21,3 à 16,1 %...*
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