therasse 2 septembre 2011 21:21

Qu’on soit contre les juifs, qu’on les haïsse en raison de leur judéité, c’est évidemment immonde.


Mais qu’on constate certains scandales ou anomalies énormissimes en relation avec les juifs, leur solidarité communautaire et un certain népotisme ambiant au sein des médias, ça me paraît tout à fait normal.

Leur attitude dans l’affaire Strauss Kahn par exemple, la montée au créneau de toute la caste au lendemain de l’arrestation, sans aucune connaissance du dossier et leurs mensonges éhontés quant à l’impossibilité que DSK ait fait ça, alors même que le tout Paris était au courant des pulsions incontrôlables de celui que Tristane Banon nomme le chimpanzé en rut, cet engagement solidaire autant qu’aveugle ne peut-il donc pas être dénoncé en vertu d’une loi française castratrice de la liberté d’opinion ?

Dans des cas de ce type, ce n’est pas le juif sous l’angle de la race qui est visé. C’est le constat qu’il existe un réel lobby qui est prêt à se mobiliser à tout instant quel que soit le bien fondé de leur engagement dès qu’un juif a des problèmes, fut-il le dernier des salauds.

L’antisémitisme à l’envers en quelque sorte. Une loi liberticide à l’origine de ce privilège et qui rend toute réaction, toute dénonciation illégale et condamnable.

C’est dans ce type de cas d’espèce qu’on constate le problème que pose ce genre de lois. On n’est pas antisémite quand on constate que BHL, Badinter, Jean-François Kahn, et la plupart des fans de DSK étaient juifs. Et pourtant, je ne suis pas sûr que constater cela soit légal.

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe