JPAGO 10 janvier 13:45

@nono le simplet
 !! Ne parlez pas de ce que vous ne connaissez à l’évidence pas du tout !!
(A noter que dans jeune Médecin, mandaté par le Système de Santé et l’Education Nationale, je faisais de longues séries de revaccinations obligatoires à 11ans dans les écoles de mon secteur)
La variole humaine est une des pires menaces virales sur l’homme.
(Louis XV en est mort prématurément (58ans passés) pour le plus grand malheur de la France puisque lui a succédé le trop jeune (19ans) et surtout trop gentil Louis XVI méprisé par son grand-père)
L’homme en étant le réservoir exclusif, l’OMS ayant constaté qu’il n’y avait plus de cas ou d’épidémie déclarée a donc décidé que la variole était éradiquée, ce qui ne veut pas dire qu’elle avait totalement disparu, d’autant que le virus de la variole est une arme biologique redoutable dans le cas d’une guerre NCB (USA et Russie devaient détruire les souches mais elles doivent toujours exister et on en parlait, sur le même plan que la Guerre Atomique, lors de la formation militaire EOR à l’usage des Médecins, Pharmaciens et Dentistes à Libourne avant d’être ventilés dans l’Armée Française).
La vaccination antivariolique fait courir le risque à 1/100000 de déclencher une encéphalite mortelle chez le primovacciné, donc surtout un enfant.
Onn a donc décidé que pour ce risque TRES faible de 1/1000000, compte tenu de la déclaration de l’OMS, on arrêtait la vaccination systématique obligatoire de toute la population. En France, toujours en rapport avec ce risque vaccinal de 1/100000 les mesures de Protection Civile prévoient que si un cas était détecté on procéderait D’ABORD alors à une vaccination de la population localisée autour de ce cas et qu’on l’étendrait progressivement selon l’extension, alors que les échanges de populations sont très rapides, que la variole est contagieuse et peut être mortelle infiniment plus que le Covid19 , et que la population y sera très sensible puisque jamais vaccinée.
On pourra constater l’incroyable écart Politico Médical entre l’extraordinaire prudence des Autorités pour un risque de complication vaccinale infime à 1/100000 acquis sur 200ans de vaccination face à une maladie contagieuse pouvant être mortelle 30% et la totale absence de recul et de précaution pour imposer une pseudovaccination à très haut potentiel de dangerosité signalé par son créateur et vérifié ensuite pour faire face à une maladie aussi peu statistiquement dangereuse et à extinction relative rapide en 4 mutations, en tous cas nettement moins que la Grippe dite Espagnole de 1917-20 pour laquelle on a montré que l’absence de soins corrects était la principale cause de mortalité pour sans doute la moitié des victimes, soins qu’on a refusé à beaucoup de gens agés surtout en EHPADs abandonnés au Doliprane et pire au Rivotril et au Midazolam terminaux., alors qu’on pouvait autoriser ces soins faciles et à faible coût.

 


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