samedi 23 juillet 2016 - par flolenigo

GIBRAN, Khalil - Le prophète - 16 La Souffrance, 17 La Connaissance de Soi et 18 L’Enseignement

Gibran Khalil Gibran est un poète et peintre libanais, né le 6 janvier 1883 à Bcharré au Liban et mort le 10 avril 1931 à New York. Il a séjourné en Europe et passé la majeure partie de sa vie aux États-Unis.

 

Écrit en anglais, Le Prophète est une œuvre poétique faite d’aphorismes et de paraboles, livrés par un prophète en exil sur le point de partir.

 

Aux grandes questions de la vie, celui-ci livre au peuple qui l’a accueilli pendant douze ans des réponses simples et pénétrantes. Des thèmes universels sont abordés, mais le fil conducteur reste l’amour. Ainsi est-il dit sur le mariage « Emplissez chacun la coupe de l’autre, mais ne buvez pas à la même coupe ». C’est ainsi que Le Prophète est parfois lu à l’occasion de mariages, essentiellement aux États-Unis.

 

À côté des grandes questions de la vie pratique, comme le mariage ou les enfants, sont abordées la connaissance de soi et la religion, conçue comme universelle.

 

Citations : 

 

« Votre raison et votre passion sont le gouvernail et les voiles de votre âme qui navigue de port en port. Si votre gouvernail ou vos voiles se brisent vous ne pouvez qu’être ballotté et aller à la dérive ou rester ancré au milieu de la mer. Car la raison régnant seule est une force qui brise tout élan. Et la passion livrée à elle-même est une flamme qui se consume jusqu’à sa propre extinction. »

 

« N'oubliez pas que la terre aime à sentir vos pieds nus et que le vent aspire à jouer avec vos cheveux. »

 

« Vos souffrances permettent à la compréhension de germer. Elles sont ce remède amer par lequel le médecin qui est en vous soigne le malade en vous. Aussi accordez la confiance à ce médecin et buvez ce remède en toute quiétude, et sans vous plaindre. »

 

 



1 réactions


  • Soi même 23 juillet 2016 21:02

    C’est bon recueil pour assouplir le cuir de la pensé, néanmoins, il ne faut pas nom plus s’abîmer dans son sentimentaliste, car il ne faut pas oublié de pensé par soi même, la pensé de sa pensé.


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