mardi 9 août 2016 - par flolenigo

Les fourmis (effets des ondes de téléphone portable et reportages)

En 2013, plus de 12 000 espèces ont été répertoriées, mais il en reste probablement des milliers encore à découvrir. Famille cosmopolite (elle a colonisé toutes les régions terrestres à l'exception du Groenland et de l'Antarctique), elle atteint une grande densité dans les milieux tropicaux et néotropicaux. Bien que les fourmis représentent moins d'un pour cent des espèces d'insectes, la masse de la myrmécofaune excède le poids de l'humanité et cette masse conjuguée à celle des termites représente le tiers de la biomasse animale de la forêt amazonienne.

 

Effets des ondes de téléphone portable sur les fourmis :

 

À Bruxelles, des chercheurs du Département de Biologie ont dévoilés une étude sur l'impact des ondes GSM sur les fourmis. D'après une expérience, réalisée sur plusieurs colonies de fourmis exposées aux ondes d'un téléphone portable, ces insectes sociaux sont fortement touchés par les rayonnements électromagnétiques émient par nos GSM.

 

Dans la famille technique de la téléphonie mobile, du Wifi, du Bluetooth et des téléphones DECT, la structure physique de l’émission est triple :

1/ une hyperfréquence, ou micro-onde,
2/ une gamme d'extrêmement basses fréquences,
3/ une multipulsation chaotique, c’est-à-dire sans résonance de rythmes
 

Les micro-ondes et les très basses fréquences présentent une toxicité (par la production de protéines de stress et par résonance avec les fréquences cérébrales) mais la plus forte est celle des saccades : là, le désordre a la forme de "micromitrailleuses" électromagnétiques.

Cela suffit non seulement pour désorganiser les processus physiologiques mais même pour décomposer des structures biochimiques.

Ce désordre est cause d’agressions physiologiques primaires, dont 4 principales :

– la perte d’étanchéité de la barrière sang-cerveau (hémato-encéphalique),
– la perturbation de production de la mélatonine et de l'acétylcholine,

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– la déstabilisation des régulations membranaires,
– les dommages génétiques.

 

Rapports scientifiques : http://www.robindestoits.org/3-La-science_r14.html

 

 

C'est pas sorcier :

 

Fred et Jamy nous emmènent observer les fourmis. Leur camion prend la direction de Mulhouse et s'arrête dans une forêt de conifères où vivent des fourmis des bois. Fred nous dévoile les caractéristiques d'une fourmilière et de ses habitantes. Cet insecte, appelé hyménoptère existe depuis des millions d'années. En France, on en a dénombré au moins 180 espèces différentes.
Nous verrons comment les colonies de fourmis s'organisent et se reproduisent grâce à leur reine, et quel est le rôle écologique joué par les fourmis des bois qui se nourrissent essentiellement d'insectes. Au vivarium, Fred nous montre le travail des fourmis "fourrageuses" chargées d'alimenter leurs colonies.
Nous parlerons également des fourmis plus redoutables comme les "champignonnistes" ou les "magnans" d'Afrique. Puis, nous irons dans un laboratoire de Toulouse où on étudie la fourmi d'Argentine qui élève des pucerons pour les "traire".

 

 

 

L'organisation secrète des fourmis :

 

Outre leurs performances individuelles extraordinaires et l'organisation précise du travail au sein de leurs sociétés, les fourmis ont des facultés de communication étonnantes.

 

 



3 réactions


  • christophe nicolas christophe nicolas 9 août 2016 15:01

    Il est évident que les ondes des GSM perturbent les fourmis mais à quelle distance ? Si la fourmilière vient dans la poche de votre téléphone ?


    Les fourmis sont des bestioles utiles qu’on écrase sans faire attention et il ne faut pas culpabiliser plus que cela, elles sont sans âme et jouent leur rôle dans la nature, au service de l’humain en quelque sorte puisqu’il dépend de la nature comme le montre ce diagramme et celui-ci concernant les rendements de la récolte de blé, les données n’étant pas encore consolidées. On remarquera tout de même que la région Parisienne, le Nord et le Nord-est vont souffrir même si la récolte mondiale est bonne mais qu’on sait que la prochaine sera mauvaise à cause de la Nina. Dans le cas présent, la spéculation, fondée sans mauvais esprit sur des données objectives et des vrais échanges, régule les marchés. 

    Maintenant, les prochaines récoltes dépendent des agriculteurs, s’ils suivent la propagande du réchauffement climatique ou s’ils pensent qu’on va vers refroidissement climatique. En effet, j’imagine que cela joue sur le choix et les dates de plantation, les semences, les traitements, les approvisionnements, le matériel, etc. Le gouvernement dit réchauffement, j’affirme absolument le contraire sans aucune espèce d’inquiétude et je ne suis pas le seul, je dis qu’ils enfument les gens comme un GSM enfume les fourmis. Les agriculteurs qui se tromperont à répétition connaîtront le fiasco de la centrale solaire d’Ivanpah qui atteint 28% de la puissance nominale prévue alors qu’ils ont dû s’appuyer sur de belles équations, et a grillé 28000 oiseaux attirés par les insectes eux mêmes attirés par ce faux soleil.

    Sinon, je pense qu’il faut déconseiller aux femmes de mettre le téléphone portable sur le ventre même si les normes disent qu’il n’y a pas de souci parce qu’elles ne prennent en compte que l’énergie rayonnée et pas les interférences or la croissance d’un ovule puis d’un embryon et enfin du fœtus a un caractère "informatif" que les interférences pourraient perturber. 



    • christophe nicolas christophe nicolas 9 août 2016 15:20

      N’ayez aucun doute que les agriculteurs auront suffisamment de poids pour demander des comptes sans ménagement à ceux qui font des expériences avec leur avenir. Vous pouvez consulter les pages de Jacques Henry, coup de gueule et complément.

       

      Jacques Duran a d’excellentes pages pour les physiciens afin de comprendre l’effet de serre. Au départ, le problème a été pris de façon mécanistique et pas dans son ensemble ce qui est l’erreur des bœufs, pas au sens péjoratif mais au sens d’Elysée devant les sacrifier pour suivre Elie (c’est très figuratif). Les partisans du réchauffement climatique par le CO² ne comprennent pas pourquoi la troposphère ne se réchauffe pas comme prévu dans leurs modèles. Voila ce que je répond : les conditions aux limites sont fixées, quantité d’énergie reçue par la surface de la terre chauffée par les rayons solaires, température de l’espace. La chaleur est du mouvement mais en thermodynamique la densité de particule intervient également or le vide est froid mais il est également à pression nulle. En même temps que les particules de l’atmosphère chauffent, elles augmentent leur vitesse, elles augmentent en altitude ainsi la densité et la vitesse diminue ce qui donne une température plus basse ; en gros l’atmosphère gonfle au lieu de chauffer une couche intermédiaire. Il est très logique de faire intervenir le théorème du Viriel comme l’a fait Ferenc Miskolczi (cf § B). En physique statistique ça n’a pas trop de sens d’avoir une couche de gaz chaude stable entre deux couches froides, les particules vont tout de même à des centaines de m/s. Je pense que les climatologues ont travaillé comme en mécanique des fluides ou des milieux continus mais c’est réservé aux masses d’air qui ont des très grosses molécules comme de l’humidité ce qui est la définition d’un nuage ou d’un phénomène dépressionnaire. On retrouve un peu le conflit entre les mécaniciens et les métallurgistes et la difficulté de choisir la bonne approche pour un problème donné, les mécaniciens souhaitent toujours tout généraliser pour faire des prédictions et sortent parfois des domaines de validité, il faut alors regarder si le problème est bien posé.

       

      Forcément, ce sont les particules les plus légères qui vont le plus vite et qui montent le plus facilement, ce sont donc H²O et CH4 qui vient des gaz de combustion des hydrocarbures et des pets de vache. Lorsqu’on monte en altitude, la densité des rayons cosmiques augmente ce qui fait que l’ionisation augmente et que les noyaux de condensations des nuages se fabriquent un peu plus haut ce qui favorise sans doute l’albédo et l’apparition des cumulo-nimbus donc ce mécanisme agirait comme un phénomène régulateur, les Belges qui comptent les jours d’orage appuyant mon point de vue très novateur qui dit que quand il fait plus chaud, il y a plus d’orages, une grande trouvaille ! C’est un phénomène très réactif car le cycle de la vapeur d’eau est de l’ordre de 10 jours si je ne m’abuse. Evidemment, le paramètre extérieur qu’est la densité des rayons cosmiques qui dépend de l’activité du soleil influe sur le climat et aussi l’orbite de la terre ce qui est déjà bien connu des climatologues.
       
      En guise de conclusion, citons des extraits du travail de synthèse de Jacques Duran :

      Je ne peux résister au plaisir de vous montrer cette courbe qui analyse le niveau du grand Lac Victoria entre 1896 et 2005 et démontre la corrélation frappante qui relie le niveau du lac (et donc des pluies) avec le nombre des taches solaires. La voici :

      Et voici encore un résultat récent montrant une corrélation manifeste sur près de 1000 ans d’histoire entre l’intensité des rayons cosmiques et la température terrestre.

  • sls0 sls0 9 août 2016 16:21

    Avec des tablettes et des smartphones dans les mains d’enfants de moins de 6 ans, il n’y a pas qu’en Belgique qu’on fait des expériences, c’est à la portée de tout le monde.


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