Justice pour Said - Enfin la vérité
Ce documentaire ne fait pas que rendre justice à la mémoire de Saïd Bourarach en rétablissant la vérité sur cette affaire, il révèle aussi la responsabilité de tous les protagonistes autour, allant de ceux qui ont fabriqué le mensonge à ceux qui l'ont répandu, que ce soit par incompétence, par ignorance, ou par pure volonté d'instrumentaliser l'affaire Saïd. B.
(que son âme repose en paix).
FONDE SUR LA STRICTE VERIFICATION DES SOURCES ET DES PIECES DU DOSSIER !
Said Allah y rahmo
10 réactions
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Oursquipense
28 avril 2016 16:37
C’est fantastique ! Près de deux heures pour expliquer tous les tenants et aboutissants de cette affaire ça me paraissait long mais c’est passionnant de voir avec quel rigueur les gars de la Razia sont entrés dans cette histoire et comment ils en sortent avec des choses à dire et des mises au points bien utiles, en particulier les précisions sur ce qui figure effectivement dans le dossier. Un bon dégonflage de pas mal de baudruches au passage (Bonjour Maître Danglehant !).
Vous me paraissez comme des types droits, la Razia, continuez comme ça.
Justice aura été rendue, même s’il reste à choper les deux condamnés qui sont en cavale.
Que Saïd repose en paix.
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DJL 93VIDEO
29 avril 2016 03:06
Superbe travail les fréros. Sacré travail ce doc.
Bravo et bonne continuation ... ? -
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Lord Voldemort
29 avril 2016 14:18
Ce documentaire orienté et vindicatif de près de deux heures a été réalisé à la manière d’un réquisitoire où les accusés qui apparaissent pour les seuls besoins de l’incrimination à charge dans un montage vidéo douteux sont la veuve de la victime, Dieudonné, Soral, Dangléhant, et Nouari.
Le terme vérité est employé de manière itérative et abusive. Il n’y a pas de vérité dans un dossier d’instruction. Les actes d’instructions, les commissions rogatoires et les expertises médico-sociales, médico-psychologiques et post-mortem ont pour objet, au titre de l’instruction préparatoire et du nouveau code de procédure civile, de faciliter la manifestation de la vérité, mais de quelle vérité parle-t-on quand le système inquisitoire dépend de la personnalité du magistrat instructeur, des policiers enquêteurs, du procureur du gouvernement et d’un certain nombre de paramètres extérieurs dont l’intervention peut fausser la perspective de la vérité judiciaire.
Ce que j’ai trouvé d’intéressant est le témoignage volontaire de deux agents de la SNCF circulant par le plus extraordinaire des hasards à bord d’une motrice qui passait aux abords du canal de l’Ourcq concomitamment à la course poursuite meurtrière. Les deux témoins comme tombés du ciel livrent un témoignage qui dédouane les principaux accusés en corroborant avec une précision d’horloger dans le détail la version selon laquelle la prétendue victime se serait délibérément jetée dans le canal alors qu’elle était essoufflée et rompue et que le chien en aurait fait autant avant d’être repêché par un membre du personnel de la société Baktor.
De nombreuses assertions visant à ternir Dieudonné relèvent de la simple interpolation. J’ai relevé de nombreuses contradictions et incohérences dans les récits des intervenants animés sans doute par l’aigreur, le désir de revanche et la mauvaise foi la plus abjecte.
Quoi qu’on en dise, il s’agit ni plus ni moins d’un règlement de comptes entre les membres de la razia et les personnalités mises en cause qui ont relayé cette affaire en y consacrant du temps et de l’argent.
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