samedi 18 septembre 2010 - par
Des musulmans se révoltent à Limoges : "C’est le Code Pénal qu’il faut brûler !"
Une manifestation de musulmans « révoltés » a eu lieu dans le centre-ville de Limoges, vendredi soir, entre 17 et 18 heures (source : Le Populaire, journal local de Limoges).
La population a été effrayée par cette manifestation, remplie de haine. « C’était quelque chose de très violent », témoigne une commerçante souhaitant garder l’anonymat. « Comprenez-moi, je n’ai pas envie qu’ils me pètent la vitrine, je préfère ne pas donner mon nom, ni que mon magasin soit cité. J’en frémis encore. » « Les policiers eux-mêmes ne sortent pas de leur voiture et laissent baissée leur fenêtre », témoignait un autre commerçant.
C’est l’organisation islamiste Sirât Alizza, proche de Hani Ramadan (défenseur de la lapidation), qui a organisé la manifestation. Le 11 septembre dernier, cette organisation avait appelé à la guerre contre les islamophobes, en réaction au projet du pasteur Terry Jones de brûler un Coran ; sur son site, on pouvait lire : "Comment est ce possible que l’on puisse déchirer le saint coran en public sans que des têtes roulent par terre ?! (...) On demande à ALLAH soubhanahou wata3ala ,maître des mondes ,de leur infliger toutes sortes de maladies dont le cancer du colon ! Qu’ils ne puissent même plus se soulager au toilettes ,que leur existence soit humiliée et que toutes leurs familles se convertissent à l’islam. Mes frères cet appel est concret , contactez nous au plus vite afin de préparer la riposte inchaalah ta3ala ! ".
Le harangueur à Limoges a nié la version officielle du 11-Septembre. Puis, il a encouragé à brûler le Code Pénal, celui-ci ne faisant pas référence aux musulmans. Selon lui, il faut modifier le Code Pénal, afin qu’il défende les musulmans. Des passants lui ont alors répondu au cri de "Allah akbar !".
Le journaliste du Populaire écrit : "Notre photographe leur a demandé s’il pouvait prendre une photo de la manifestation, comme c’est le cas chaque fois qu’un événement se produit à Limoges « Va-t-en avec ton appareil. Sinon on te casse la gueule. »"
2e partie : à partir de la 7e minute, un journaliste de France 3 tente d’engager le dialogue avec le harangueur de foule... Il va s’en mordre les doigts... S’ensuit une marche très agitée dans les rues de Limoges, durant laquelle une femme âgée osant s’opposer aux manifestants se fait conspuer par la foule.