mercredi 16 octobre 2013 - par Nora Inu

Le Grand Oral - Robert Badinter

D'aucuns vont me taxer de gérontophilie, mais, après Jacques Delors, je vous propose un autre entretien avec un vieux sage. L'invité du grand Oral du 21/09/2013 était Robert Badinter, ancien Garde des sceaux, sénateur et président du conseil constitutionnel de la République française. Il est principalement connu pour son combat en faveur de la réinsertion des détenus et contre la peine de mort, dont il obtient l'abolition en France le 9 octobre 1981 ... Il est interrogé par trois journalistes.

 



4 réactions


  • Pablo el GENIO Pablo 16 octobre 2013 15:39

    .....Les Badinter, voilà un couple infernal et peu recommandable ....Le "grand oral" avec eux c’est les genoux à terre et la bouche ouverte ! Eh, le défenseur d’assassins d’enfants, je te dis comme Sardou : "je suis ARCHI pour.... !!!! "


    • karikakon karikakon 16 octobre 2013 15:44

      Eh, le défenseur d’assassins d’enfants"

      Non,un abatteur, un bucheron de Koniers, ces arbres qui donnent pour fruit ; le con.


  • Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 16 octobre 2013 23:37

    Mon avis est partagé sur cet homme, tout comme d’ailleurs sur sa femme. On ne peut pas toujours ranger les gens dans des catégories simples (les méchants et les justes). C’est sans doute un homme qui a de véritables qualités et des convictions sincères. Mais c’est aussi un homme d’appareil et de communauté. Sa franchise a donc des limites, il a pris des habitudes "politiciennes", il est aussi trop âgé pour changer et comprendre notre époque qui le dépasse. Finalement, c’est un peu un avocat du Bon Dieu, le reflet inverse d’un Jacques Vergès, avocat du diable. Les deux nous ont caché bien des choses !


  • marceau 17 octobre 2013 20:00

    On doit se souvenir de la façon dont il est intervenu, à la TV, pour défendre DSK lors de l’affaire Diallo, contre les faits, contre l’évidence il le défendait mordicus. On était là alors loin des grandes postures morales habituelles, des diatribes humanistes enflammées, il ne s’agissait plus que de défendre un homme du clan, du même milieu que soit qui s’était foutu dans le pétrin.

    Il fallait sauver le soldat DSK et tout était mis en œuvre pour y parvenir..

    Badinter est apparu tel qu’il était, un communautariste préoccupé avant tout de questions communautaristes .


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