samedi 22 juillet 2017 - par La France Réveillée

Zoom - Halte à la russophobie ! (Retour du Donbass avec Emmanuel Leroy)

Consultant indépendant et président de Urgence Enfants du Donbass, Emmanuel Leroy rentre d’un visite au coeur du bassin houille du Donbass, région en proie à la guerre. Il répond aux questions de TVLibertés sur les relations tendues entre l’Ukraine et la Russie. Il apporte un regard différent et pointu sur un conflit qui a débuté en avril 2014 et qui a fait des milliers de victimes militaires et civiles. Emmanuel Leroy s’éloigne de la vision unipolaire imposée, en Europe, pour évoquer la situation dans la région. Il démonte certains préjugés qui ont la vie dure contre la Russie. 

 

 



3 réactions


  • Le Monde part en couilles Vraidrapo 23 juillet 2017 09:54

    Pendant des dizaines d’années, Hollywood nous a fait croire que les "peaux rouges" étaient les méchants et les "vachers" et les "longs couteaux", les gentils.. pourquoi ne pas prolonger sur le vieux continent, cette vieille recette ?! Le temps de mettre les choses en place...

    Pour les américanophiles :

    http://www.mondialisation.ca/des-milliards-de-dollars-darmes-contre-la-syrie/5600311


    • La France Réveillée #WorldPeaceNow* 23 juillet 2017 13:39

      @Vraidrapo

      C’est une stratégie basique de l’ingénierie sociale, tout comme le "diviser pour mieux régner", il y en a des centaines d’autres et les illuminati excellent dans cet art, il faut dire qu’ils sont "bien" inspirés...


    • AmonBra QAmonBra 26 juillet 2017 10:00

      @Vraidrapo

      Ayant eu la chance, voire même le grand privilège :

      - 1°) D’avoir vécu et grandi dans le monde rural, dans une nature provençale encore préservée du béton et du goudron jusqu’à l’âge de 25 ans.

      - 2°) D’avoir eu un papa m’ayant expliqué, dès les années 50/60, que les "films américains", même en cinemascope, mentaient et que les "indiens" ne faisaient que défendre leur terres et leur pays, j’ai donc toujours fait partie des "peaux rouges" dans les interminables partie de cow boys et d’indiens de mon enfance, pouvant durer, vu la nature nous entourant, une journée entière, nos mères nous revoyant qu’à la fin du jour . . .


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