mercredi 29 octobre 2014 - par Pyrathome

Une fusée de la Nasa explose au décollage

Une fusée Antares transportant une capsule non habitée à destination de la Station spatiale internationale a explosé dans la foulée de son lancement, mardi soir, aux États-Unis.

 

Une fusée Antares, transportant la capsule non habitée Cygnus à destination de la Station spatiale internationale (ISS), a explosé peu après son lancement mardi, selon les images en direct de la télévision de la Nasa. Elle avait été construite par la société américaine Orbital Sciences.

 

« L'explosion s'est produite peu après le lancement » sur la base spatiale Wallops sur la côte de Virginie, a dit un commentateur de la télévision de la Nasa. Cygnus devait livrer à l'ISS 2,2 tonnes de vivres et de matériel pour expériences scientifiques. Elle transportait aussi le prototype d'un satellite construit par la start-up américaine Planetary Resources.

 

http://www.lefigaro.fr/sciences/2014/10/28/01008-20141028ARTFIG00436-une-fusee-de-la-nasa-explose-au-decollage.php

 

 



27 réactions


  • medialter medialter 29 octobre 2014 08:56

    Quel article ! smiley 3 paragraphes, dont le second qui répète le premier, tu parles d’un non-évènement, la NASA fait sous-traiter le lanceur, ça leur pète à la gueule, fin de l’histoire. Haaaaaaaaaaaaaa l’astronautique, c’est vraiment passionnant quand des automates relaient les bouches-trous des JT. Il aurait peut-être mieux valu commencer par les détails sur ceux qui attendent leur bouffe là-haut. C’est la fin d’AVTV qui approche, non, que des auteurs à 2 balles, plus rien à se mettre sous la dent ?


    • Avlula 29 octobre 2014 09:27

      Ben développe, complète, ou propose tes articles, c’est le principe d’AVTV !


    • Pyrathome Pyrathome 29 octobre 2014 12:45

      tu parles d’un non-évènement, la NASA fait sous-traiter le lanceur, ça leur pète à la gueule, fin de l’histoire.
      .
      Qu’est-ce tu veux dire de plus ?
      Sinon que c’est un lanceur ( ancien booster à poudre de navette ) qui est destiné à remplacer les space shuttle à la retraite,
      À part les Soyouz actuels, il n’y a rien d’autre pour aller dans l’espace....Quelle régression !!


    • Romios Romios 29 octobre 2014 13:08

      Ca montre surtout que les ruptures de technologie c’est contre-productif.


      Les Russes ont très peu d’echecs grace à une évolution sans rupture de leur saboir faire.





    • Pyrathome Pyrathome 29 octobre 2014 12:39

      T’vois pyra, vous boxez dans la même catégorie, mais moé j’préfère tes vidéos de dissidonce à celles du blueman, au moins ça pète l’action.
      .

      Une quenelle à poudre qui explose sur son pas de tir, c’est un acte de dissidence ?
       smiley
      Encore un coup de Dieudonné/Soral, alors ?
      Un acte antisémite, pour sûr !! smiley


  • Haze Haze 29 octobre 2014 10:19

    Je comprends plus rien. A l’heure ou les ordis étaient pas plus puissants qu’une calculatrice Casio, on faisait des tas de voyage aller retour sur la lune.
    Un demi siècle plus tard, les fusées pètent encore au démarrage.

    L’humanité n’évolue plus ou quoi ? ^^


    • samagora95 samagora95 29 octobre 2014 10:39

      C’est vrai qu’à ce prix (200 millions de $) ils pouvaient au moins garantir le décollage !


    • Joe Chip Joe Chip 29 octobre 2014 11:16

      Il y a en effet une régression de la technique pure et dure partiellement masquée par l’évolution technologique et l’augmentation de la puissance de calcul. Les budgets alloués à la recherche diminuent et les agences spatiales publiques doivent passer par des sous-traitants privés, voilà le résultat... ça n’affecte pas uniquement la NASA, la Russie a connu une série d’échecs cuisants ces dernières années avec ses lanceurs.


    • Haze Haze 29 octobre 2014 11:29

      Joe, la NASA doit disposer d’une puissance informatique près de 1000 fois supérieur au temps des missions Apollo.
      Si l’on y rajoute 50 années d’expérience, envoyer une pauvre fusée de ravitaillement devrait être un jeu d’enfants ...
      Ces sous-traitants ne sont pas complètement indépendants, il travaillent mains dans la main avec la NASA.


    • Tartoquetsches 29 octobre 2014 11:40

      Certain peuvent y voir un sabotage russe en retour aux sabotages us de leurs protons.

      On ne saura jamais, mais on ne peut écarter cette hypothèse par ces temps de nouvelle guerre froide ou tous les coups sont permis.

    • Joe Chip Joe Chip 29 octobre 2014 13:04

      @Haze

      C’est voir le problème par le petit bout de la lorgnette.
      On a plus de deux millénaires d’expérience de navigation à la voile mais il est devenu presque impossible aujourd’hui de lancer sur les mers une caravelle ou une frégate. Nous possédons bien entendu toutes les connaissances requises mais le savoir-faire empirique - la "technique" - a pratiquement disparu. Récemment, le projet de reconstruction à l’identitique de l’Hermione - le navire qui a transporté Lafayette en Amérique - lancé en 1997 s’est heurté à des contraintes techniques considérables alors que les technologies mises en œuvre sont dépassées depuis près de deux siècles.

      Autrement dit, ce n’est parce que l’on a su lancer une fusée il y a 30 ans que cette capacité est définitivement et uniformément acquise, car il y a une entropie du savoir et une déperdition dans les systèmes d’information complexes. Les Russes pouvaient envoyer des sondes de plusieurs tonnes sur Mars dans les années 70. Aujourd’hui ils savent toujours comment le faire... mais ils ne peuvent plus le faire. La communauté scientifique internationale a salué l’exploit des Indiens qui ont réussi à placer leur première sonde en orbite autour de Mars... l’exploit était moins technique que financier puisque le coût global de la mission n’excède pas le budget d’un film hollywoodien.

      Donc, cela montre bien que la puissance de calcul ne fait pas tout. Il y a 40 ans on envoyait des sondes aux confins du système solaire, sur Mercure, Vénus, Mars, etc. On faisait voler le Concorde, on créait le TGV, on creusait le tunnel sous la Manche etc... Tout cela n’est plus reproductible aujourd’hui car le contexte a changé, les moyens ne sont plus là, et, parfois, les compétences techniques et scientifiques non plus. Les meilleurs ingénieurs français ne travaillent plus sur de grands projets publiques mais dans le privé, où les impératifs ne sont pas les mêmes. A l’inverse, dans les années 70/80 les problèmes techniques étaient résolus en condition réelle par des ingénieurs selon une approche directe et empirique.


    • la mouche du coche 29 octobre 2014 13:35

       smiley Je voudrais saluer le commentaire remarquable de Joe Chip au dessus dont la portée dépasse ce simple article. Nous sentons que même avec des ordinateurs partout, nous devenons de plus en plus nuls mais nous n’arrivons pas à l’expliquer. Joe Chip l’a fait.
      Joe Chip, pourriez vous en faire un article ?


    • Arnaulde Schwarzandgueguerre L’Equatorien 29 octobre 2014 13:38

      Exactement, la faute à la multiplication des polyvalences et du temps de divertissement empiétant sur la qualité professionnelle, c’est le prix à payer du laxisme occidental asservi par le divertissement outrancier du grand capital, les ingénieurs et autres scientifiques, les "experts" de tout poil succombent également aux sirènes de la téléréalité, du speed dating, de la téléphonie mobile, de l’addiction au candy crush saga, facebook, et autres world of warcraft si ce n’est du virtuel ce sera du réel mais toujours du divertissement, base jump, globe troterrisme, wing suite et autres joies nouvelles de notre époque mi figue mi raisin.

      ^^

      Avant on savait calculer de tête, maintenant les machines ont remplacé le raisonnement intellectuel "manuel" cf l’application I-Phone qui scanne les équations et en donne le résultat, avec le cheminement complet en option.

      ^^

      Les bricoleurs d’autrefois sont devenus plus geeks que soudeurs de miniatures électroniques, activité réservée à de petites mains chinoises en bas âge.

      ^^

      Je me suis également dit en regardant cette vidéo instinctivement : Et on veut nous faire avaler qu’on est allé marcher sur la lune dans une boîte de raviolis maintenues par quelques rivets en 69 et aujourd’hui on ne sait plus lancer une fusée à peine plus grosse qu’une bombe du 14 juillet pour le mêm résultat mais bien plus cher encore.

      ^^

      Avant, les spécialistes étaient appelés ainsi car ils consacraient la majeure partie de leur temps sur leur domaine de prédilection. A l’heure ou les réels spécialistes sont au chômage pour cause de trop de qualifications et donc aux salaires demandés exhorbitants, on préférera des gens moins qualifiés mais moins chers aussi, quand ce n’est pas directement les filles et fils de qui entrent à des postes qu’ils n’auraient jamais pu caresser du doigt grâce à eurs seules compétences, et ce dans tous les domaines, c’est ainsi que l’on constate une baisse drastique de l’efficacité des ex "experts en...". Plus personne n’est spécialiste de rien mais touche à tout plus ou moins, ceci expliquant cela.

      ^^

      Il y a aussi les notions de rigueur dans le travail, de conscience professionnelle et du respect de l’éthique qui fout le camp vitesse grand V. Comment s’étonner des erreurs médicales par néligence quand on apprend que certains chirurgiens regardent le foot en opérant ? Une femme va se faire avorter près de Bordeaux, elle se retrouve amputées des 4 membres suite à une septicémie contractée pendant l’opération de routine.

      ^^

      Tout se perd ma bonne dame, le goût des choses bien faites, la vitesse de l’époque fast food a ses travers, quand on veut tout tout de suite, et que l’exigence dans l’immédiateté des sponsors source de pression et de stress sur des exécutants déjà bien moins zélés qu’autrefois, on ne vérifie peut être pas minutieusement comme l’exigerai un travail d’orfèvre, qui demande du temps et de l’argent, des boulons de sécurité et des joints d’étanchéité un à un alors on s’étonne après qu’une fusée pète au décollage.

      ^^

      Tout va trop vite, on a plus le temps de rien mais on veut tout faire dans un délai et des budgets de plus en plus serrés, après on s’étonne que le moindre objet venu de Chine n’aie pas la résistance d’un moteur Junkers Jumo 210 ou de la longueur de vie des matériaux increvables Bosch de 40. Faut pas s’étonner que tout parte en couille à l’ère du tout jetable.


    • Haze Haze 29 octobre 2014 14:09

      Merci de la réponse Joe, mais alors, que font la NASA ?
      Ils bossent sur quoi les loustiques depuis 30 ans ?
      Des truc dont on n’a pas à être mis au courant ?


    • Pyrathome Pyrathome 29 octobre 2014 14:25

      Tout cela n’est plus reproductible aujourd’hui car le contexte a changé, les moyens ne sont plus là, et, parfois, les compétences techniques et scientifiques non plus.
      .
      Tu es quand même mieux dans la peau du gars au commentaire pertinent que dans celle de celui qui vient défendre l’indéfendable sur les agissements des multinationales de la honte..... smiley


    • WakeUp 29 octobre 2014 18:28

      Joe, votre commentaire est tout à fait exact.
      Je me permets de l’étayer par un témoignage personnel, assorti d’une analyse qui me trotte depuis quelques temps dans la tête.

      Je crois avoir fini par isoler deux causes principales à ce que vous énoncez :
      1- Le mépris et l’ignorance du technique
      2- La peur de l’échec... menant paradoxalement à la catastrophe


      Le mépris du technique


      Je suis aujourd’hui ingénieur dans le privé et j’ai eu la chance -ou la malchance c’est selon- de passer par le système des grandes écoles, cela il y a moins de 10 ans. A travers ma scolarité j’ai pu rencontrer des élèves véritablement brillants. Non pas des singes savant, mais de véritables cerveaux, d’un sens mathématique ou physique hors norme. Aujourd’hui, parmi mes anciens camarades, la répartition et très simple :

       Les "cerveaux" ont tous des postes à responsabilités managériales, excepté quelques hurluberlus qui se sont tournés vers la recherche

       Ceux qui avaient de grandes facilités, font beaucoup de commercial et un peu de technique... dans le milieu bancaire !

       Les autres, ou les passionnés font de la technique ou du commercial dans l’industrie.


      Aujourd’hui, pour un ingénieur technique, les seules perspectives d’évolutions (financières, reconnaissance sociale, etc.) se trouvent dans la prise d’un poste à responsabilités managériales ou commerciales.
      Nous arrivons donc à l’aberration suivante : plus la personne est douée pour les sciences, moins elle en fera. Et si jamais elle est douée, et qu’elle en fait, ce sera dans le milieu bancaire.


      Loin de moi pourtant de considérer les ingénieurs techniques comme des mauvais –j’en suis-, mais par contre, dès qu’ils prennent de la bouteille, de la compétence, pouf ils s’enfuient dans le managérial, le démarchage commercial ou le bancaire. Ceux qui restent sont des passionnées, qui se feront vite écraser par la hiérarchie, développant alors leurs compétences dans un club d’aéromodélisme ou en bricolant leur moto plutôt qu’au boulot (il existe bien sûr des exceptions... mais comme leur nom l’indique, c’est exceptionnel !)

      Il n’y a donc plus d’expert véritable, plus de vieux pour apprendre aux jeunes. Et point d’innovation sans expérience contrairement à ce que préconise le jeunisme ambiant !


      La peur de l’échec


      Le second point, la peur de l’échec est profondément structurelle, et pas du tout que française. Je constate chaque jour dans mon travail, que la hiérarchie demande à tout contrôler tout le temps. Les rapports et les réunions pleuvent, chaque étape doit être validée par un protocole, par un chef. Il ne peut plus y avoir d’essai-erreur dans la recherche de solution puisque l’erreur coûte des sous. Donc on utilise fatalement ce qui est parfaitement éprouvé, ou ce que le chef juge parfaitement éprouvé.

      Pire, l’objectif d’un ingénieur n’est plus de faire un truc qui marche, mais un truc qui passe les protocoles de vérification (vous avez dit lourdeur administrative ?). Si cela peut sembler sécurisant, c’est en fait faux, et parfaitement délétère : on valide des chiffres... et des chiffres on leur fait dire ce qu’on veut ! Donc on obtient des produits qui passent toutes les qualifications, et qui marchent pourtant mal ou moins bien que les anciens produits !


      Un exemple est la consommation d’un véhicule, les fameux "litre aux 100", ou "g de CO2 par km". Tout le monde sait que la voiture consomme différemment suivant le régime, l’état de la route, etc. Pourtant il faut bien sortir une valeur normalisée. Pour cela on établit un profil de conduite qui correspond à une courbe avec différents régimes de consommation, la consommation finale étant la consommation moyenne. Ce profil est déterminé comme étant le profil type de consommation d’une voiture courante, avec un conducteur moyen.
      L’objectif étant d’obtenir la valeur la plus faible, on créé donc des moteurs qui vont consommer le moins possible selon cette courbe... pour peu que la courbe ne soit pas réactualisée au fil des années et des études sur les conducteurs (ce qui est le cas), on obtient des valeurs théoriques de plus en plus petites, mais une pollution qui ne diminue pas ! Pourtant tout le monde s’en fiche puisque le véhicule obtient le tampon...

      La fusée à sûrement obtenu bien plus de validations que l’ensemble des fusées du programme Apollo. Chaque pièce a dû être calculée 10 fois, et validée au cours de 12 réunions. Mais l’objectif de toute la chaîne n’a toujours été que d’obtenir ces validations, jamais de construire une fusée qui vole... pas étonnant que ça pète de temps en temps.

       

      On n’a jamais eu autant de personnes formées aux sciences, jamais eu un tel réseau de communication, jamais eu de tel moyen techniques, et pourtant nous n’avons jamais été autant sclérosés, frileux et apeurés.


    • Arnaulde Schwarzandgueguerre L’Equatorien 29 octobre 2014 22:38

      Merci pour ce commentaire WakeUp

      ^^

      ça conforte ce que dit Jean-Pierre Petit, des comme lui, y en avait pas des masses au CNRS, des esprits libres et imaginatifs presque trop électrons libres au sein d’une structure institutionnelle, frileuse, exangue de subventions, rigide, dirigiste, quasi dogmatique.

      ^^

      Les autodidactes et les chercheurs indépendant, quel que soit le domaine, y compris pour les musiciens sont souvent les plus imaginatifs et créatifs car moins enchaînés à des règles ou des pressions, et à l’esprit non bridé par l’influence des maîtres à penser dans leurs disciplines respectives. Il manquerait donc à cette époque frileuse, l’étincelle du génie qui presque par accident ou "révélation soudaine" découvre des choses toalement nouvelles potentiellement révolutionnaires pour l’humanité entière avant de finir en poussière dans un tiroir scellé par les dirigeant du monde commercial, pétroliers, banques, tous ceux pour qui la gratuité coûterait une fortune. Des victimes oubliées ou d’autres qui sont restée plus ou moins dans une relative postérité à l’instar d’un Nikola Tesla dans l’ombre d’Edison.

      ^^

      Oui cette époque tue les génies pour un conformisme bassement vénal ou juste politiquement correct à défaut d’être efficace, performant, novateur.

      ^^

      Mais n’y a t’il pas dans le privé des gens non connus du grand public qui découvrent dans les labos secrets d’entreprises gouvernementales ou non qui continuent à l’abris des regards indiscrets, ces recherches abandonnées ou en apparence de l’avoir été pour continuer la magnifique chaîne de connaissances accumulées depuis des temps immémoriaux afin d’arracher à l’univers ses secrets les plus quantiques ?

      ^^

      A qui doit on soudainement les LED’s, A qui doit on le fait que l’on doive boire le sang noir de la terre jusqu’à la dernière goutte avant d’envisager d’autres ressources d’énergie moins polluantes ? Pourquoi ne veut on pas éliminer la faim dans le monde alors que les moyens nous les avons amplement ?

      ^^

      Les scientifiques, j’en ai peur, sont sans doute, et indépendamment de leurs capacités ou personnalités, également otages de ceux qui tiennent les cordons de la bourse afin de nous couper les couilles sous le pied.

      ^^

      Tant de possibilités sont ouvertes afin de tenter d’expliquer ce mélange à la fois de modernité galopante et de cette régression néandertalienne dans certains domaines qui pourraient sembler cruciaux pour les naïfs dont je fais partie à savoir, connaître notre milieu naturel et par extension celui qui l’entoure jusqu’au plus loin et paradoxalement en même temps au plus proche de notre dimension frontière entre l’infiniment grand et l’infiniment petit.


    • la mouche du coche 1er novembre 2014 09:46

      Wakeup a bien parlé smiley


  • gerfaut 29 octobre 2014 11:10

    5-4-3-2-1 


    All engines running

    .............

  • coinfinger 29 octobre 2014 12:07

    C’est le systéme néo-con Américain la cause . Malheureusement les Russes se sont crus obligés d’imiter . çà commence à changer chez eux .
    Malheureusement pour nous ce sera en France , plus long, comme on est parti . 


  • juluch juluch 29 octobre 2014 13:00

    Waou ! Ça dépote grave !!


    Ça en fait du fric foutu en l’air......dommage quant meme...  smiley

    merci pour le partage Pyrathome.

  • Scalpa Scalpa 29 octobre 2014 13:40

    ISS ISIS c"est pas le même bouton.


  • Pyrathome Pyrathome 29 octobre 2014 19:42

     les « moteurs d’Antares sont des surplus issus du programme de fusée lunaire soviétique N1F, abandonné en 1974 ». Soit 150 moteurs NK-33 jamais utilisées, stockées durant un quart de siècle dans le hangar d’un fonctionnaire russe, avant d’être importés en Californie dans les années 90 par une société désireuse de les monter sur les fusées Atlas 5.

    Finalement, d’autres moteurs avaient été choisis et c’est la Orbital Science qui a remis la main dessus, y voyant l’occasion de limiter les coûts de construction de ses fusées. Voilà comment ces vieux moteurs, remis à neuf par la société Aerojet et rebaptisés Aj26, ont finalement trouvé une « seconde vie » sur les fusées Antares. Dans la « fiche technique » de la fusée, il est écrit noir sur blanc (page 2) que cette dernière est équipée de deux moteurs Aerojet AJ26.

    D’autres vidéos ici :
    http://www.leparisien.fr/sciences/explosion-d-antares-la-fusee-etait-equipee-de-moteurs-sovietiques-29-10-2014-4250753.php
    ..


  • jeanpiètre jeanpiètre 29 octobre 2014 22:25

    cool , et ariane dans tout ça ?


  • Scalpa Scalpa 30 octobre 2014 00:10

    Elle a une tarentule dans le carbu.


  • Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 30 octobre 2014 10:02

    Personne n’a encore accusé Poutine pour ce sabotage ?


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