jeudi 13 septembre 2018 - par mat-hac

Syrie : la France prête à de nouvelles frappes

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Le chef de l'état-major français a averti que l'armée française était prête à renouveler ses frappes aériennes en Syrie si l’arme chimique était utilisée dans la province d’Idlib. Invité du JT de RT France, Michel Raimbaud, ancien ambassadeur, revient sur les déclarations du général François Lecointre.

Plusieurs milliers de djihadistes sont présents à Idleb. La France, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, l'a confirmé. Idleb est au cœur d'un bras de fer entre les Occidentaux et la Syrie appuyée par son allié russe.

Long est le chemin vers la paix en Syrie. Les Etats-Unis intensifient leur présence, notamment avec l'opération Inherent Resolve, alors que Damas et Moscou continuent de cibler les terroristes en effectuant des frappes de précisions. Qu'implique la présence américaine ? La guerre contre le terrorisme était le premier argument avancé mais, alors que les djihadistes reculent face à l'armée syrienne, de nouveaux motifs, parfois contradictoires, émergent pour justifier cette présence militaire.

Entretien du 11/09/2018 avec Leslie Varenne, co-fondatrice et directrice de l’IVERIS. Pour RT France elle analyse la situation en Syrie au moment où un assaut imminent contre la poche d’Idleb agite les relations internationales.



2 réactions


  • wendigo wendigo 14 septembre 2018 19:23

     S’ils nous ressortent le coup de l’attaque au gaz, alors ce sera un avoeux d’incompétence, la preuve que lors des frappent précédentes, ils n’ont rien touché (en dehors des rétrocommissions sur les ventes de missiles, cela va sans dire)
     Mais bon, le ridicule ne tuant pas, ils doivent se penser immortel à en faire abus.


  • [email protected] 16 septembre 2018 15:42
    tiens les autorités françaises voudrait encore pouvoir aider leurs grands amis islamiques les mêmes qui massacrent les jeunes blancs au Bataclan, bravo
    on comprend qu au bataclan les autorités françaises ne voulaient surtout pas intervenir, comme a Nice, ou aucune mesure de sécurité n’avait été prise, et seulement les vidéos de rues interdites .... pourquoi ?


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