Démission de Saad Hariri : première bataille gagnée pour les opposants au pouvoir
Le Premier ministre libanais Saad Hariri a annoncé mardi qu'il allait présenter la démission de son gouvernement, au 13e jour d'une contestation populaire inédite réclamant la chute du régime.
3 réactions
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sls0
29 octobre 2019 22:23
La constitution oblige le communautaire, une gestion communautaire. Gabegie et corruption c’est presque obligatoire.
A l’époque où ça été décidé ça répondait à un problème de lutte de pouvoir communaitaire, ce n’était pas idiot.
Le hesbollah est majoritaire mais ne veut pas le pouvoir, le Liban serait massacré et le hesbollah aurait les mains liées et serait responsable d’un désastre téléguidé par l’occident.
C’est tellement communautaire que si un maronite veut se marier avec une druze ou une chiïte il est obliger d’aller de marier à Chypre. La constitution l’autorise mais pas les chefs religieux des communautés.
Les allocs ne sont pas payées par l’état mais par les communautés, on a intérêt à plaire au chef de la communauté locale.
Les libanais soufrent d’un étouffement communautaire.
Vous vous imaginez aller voir le curé ou un imam pour envoyer votre gosse dans un bon lycée ?
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Julot_Fr
30 octobre 2019 07:42
Comme dit Nasrallah (honnete personne) la demission (un peu facile du collabo traitre Harriri) laisse un vide dangereux.. qui, on peut etre rassure, sera exploite par le reseau macon/ sioniste / occidental pour instorer les politiques communistes qui paressent allechantes mais ne sont implementees que pour transferer le pouvoir a l oligarchie