Covid-19 : Le Grand Reset – Compilation de preuves à partager
Le Grand Reset n’est pas une légende. C’est une réalité qui est abordée au Forum Économique Mondial depuis des années et le sujet principal du prochain Forum Économique Mondial en 2021.
En observant le contexte actuel, il est difficile de ne pas remarquer les dangers économiques des décisions du gouvernement Français. Cela dit, La France est loin d’être la seule dans ce contexte car ce virus est en train de mettre l’économie mondiale à genoux. Tout est en place. Il est temps plus que jamais d’ouvrir les yeux sur ce qui se passe et d’en parler. Partagez cet article ou les liens ci-dessous. Soldats digitaux, à vos postes ! Prêts ? Partagez !!!
Sur le site officiel du FEM (Forum Economique Mondial) :
La "Grande Réinitialisation" : un sommet unique pour débuter 2021 :
https://fr.weforum.org/press/2020/06/la-grande-reinitialisation-un-sommet-unique-pour-debuter-2021/
« Le FMI vient d’annoncer le grand Reset ! » L’édito de Charles Sannat :
https://www.businessbourse.com/2020/06/09/le-fmi-vient-dannoncer-le-grand-reset-ledito-de-charles-sannat/
Une vidéo incontournable pour tout comprendre en 7 min :
Trump VS. Great Reset :
On parle du Grand Reset sur TV5 Monde :
Les mondialistes ont entendu les Gilets Jaunes, ils veulent annuler toutes les dettes, dettes étatiques, publiques, personnelles, etc., cela fait aussi partie du Grand Reset comme vous le verrez plus loin en détail.
Philippe Béchade en parlait déjà dès le mois de mars :
Ainsi que Christine Lagarde un peu plus tard en mai (vidéo en anglais) :
Voici deux vidéos de présentation sur la chaîne youtube officielle du WEF (World Economic Forum, anciennement appelé "Forum de Davos"), FEM en français :
1. The Great Reset (la grande réinitialisation)
2. What is the Fourth Industrial Revolution (qu'est-ce que la quatrième révolution industrielle ?)
Qu’est-ce que le Great Reset ?
Le 3 juin dernier, Klaus Schwab et le prince Charles annonçaient en grande pompe le lancement du Great Reset (« Grande Réinitialisation »), l’occasion pour le président du Forum économique mondial de présenter le Covid-19 comme « une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour repenser, réinventer et réinitialiser notre monde ».
La vidéo sous-titrée en français du lancement officiel du Great Reset : ICI
S’affichaient, le 3 juin, aux côtés de l’héritier du trône britannique et du président du Forum économique mondial :
Antonio Guterres, ancien président de l’Internationale socialiste, ancien Haut-Commissaire des Nations unies pour les réfugiés, actuel secrétaire général de l’ONU. L’ONU est étroitement associée au Great Reset via les Objectifs du développement durable rassemblés en 2015 dans l’Agenda 2030.
« "Nous les gens" pour les objectifs mondiaux » : la bande-annonce de l’Agenda 2030 de l’ONU :
Kristalina Georgieva, la directrice générale du FMI.
L’« économiste du climat » Nicholas Stern, membre de la commission économique installée par Emmanuel Macron à l’Élysée, membre du Conseil économique sur la santé de la planète de la Fondation Rockefeller. La famille Rockefeller a en effet joué un rôle primordial dans la réduction de l’écologie à la « décarbonation » et à la voiture électrique et ce, depuis le premier Sommet de la Terre et la publication du Rapport Meadows : les limites à la croissance (1972), jusqu’à l’accord de Paris sur le climat (2015) en passant par la création du GIEC (1988). C’est encore la Fondation Rockefeller, qui, dès 2010, a établi le « scénario narratif » de l’« étape verrouillage ».
Ajaypal Singh Banga, PDG de Mastercard, membre du Council on Foreign Relations et de l’International Business Council du Forum économique mondial.
Bernard Looney, directeur général de BP.
Brad Smith qui représente Bill Gates, dont il est le successeur à la tête de Microsoft. Rappelons que le Forum économique mondial et la fondation Bill & Melinda Gates avaient coorganisé, en octobre 2019, Event 201, une étrange simulation autoréalisatrice de pandémie mondiale au coronavirus avant de lancer, dès le 23 janvier 2020, à l’occasion du forum de Davos, le programme mondial de vaccination (ARN messager). Coordonné par la Coalition pour les innovations en préparation aux épidémies (CEPI), ce programme est présidé par Richard Hatchett, qui se trouve être celui qui, au début des années 2000, a théorisé pour la première fois le confinement (lockdown) et la distanciation sociale (social distancing), alors qu’il officiait au sein de l’administration Bush Junior.
Le démocrate « nobélisé » Al Gore et l’ancien secrétaire d’État John Kerry, qui copréside le groupe de travail sur le changement climatique de Joe Biden, ont également soutenu publiquement cet agenda, appuyé par l’OCDE via un rapport intitulé Reconstruire en mieux : une reprise durable et résiliente après le COVID-19.
Représentée par son ministre des Finances Mohammed Al-Jadaan, l’Arabie saoudite, qui assure cette année la présidence du G20, participe également au Great Reset, via le projet Saoudi Vision 2030.
La Chine est représentée par Ma Jun, président du Comité de la finance verte et membre du Comité de la politique monétaire de la Banque populaire de Chine.
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Intitulé COVID-19 : The Great Reset, ce plan de « réinitialisation du monde » a été publié au début de l’été 2020 par le Forum économique mondial chez Forum Publishing.
Il est cosigné par Klaus Schwab, par ailleurs membre du conseil international du Centre Peres pour la paix (sionisme) et ancien membre du comité de pilotage du Groupe Bilderberg (mondialisme), et par son bras droit, le consultant Thierry Malleret. Également connu sous le pseudonyme de Milton Peel, marié à l’ancienne assistante du prince Charles, Thierry Malleret est un consultant financier (The Monthly Barometer, IJ Partners, Rainbow Insight), spécialiste de la Russie qui a officié successivement au cabinet militaire de Jacques Chirac à Matignon, à la BERD auprès de Jacques Attali, puis comme principal conseiller de l’oligarque russo-israélien Mikhaïl Fridman en qualité de chef économiste d’Alfa Bank.
Sur le plan de la communication, le Great Reset repose avant tout sur la peur, puis sur les injonctions sanitaires et climatiques qui permettent d’obtenir un assujettissement de la population par le chantage compassionnel à « sauver des vies » et à « sauver le climat ». La lecture du Great Reset et l’analyse des forces en présence permettent d’établir un parallèle avec 1917. Avec une destruction contrôlée de l’économie réelle et de la classe moyenne occidentale, se dessine en effet un « bolchevisme 2.0 », où le vert a remplacé le rouge, le « social » s’est muté en « durable » et où le rôle de la Tchéka est occupé par la combinaison de l’intelligence artificielle (IA) et de la 5G. Au sommet du monde cauchemardesque du Great Reset, BlackRock, le plus gros gestionnaire d’actifs au monde détenant des intérêts majeurs dans les mégabanques, les gros médias, le Big Pharma et les géants du Web. Dictant leurs politiques aux banques centrales et aux États, ce pouvoir « fantôme » entend régner, grâce à son contrôle de l’intelligence artificielle (IA), sur une humanité drastiquement réduite en nombre, largement métissée et composée d’esclaves de la dette assignés à résidence.
D’une manière générale, le niveau d’adhésion des gouvernements au projet est strictement indexé sur leur acceptation du récit de la « pandémie de Covid-19 » imposée par les gros médias. Appliqué à la virgule près par la Commission européenne (via le Green Deal) et dans les pays du Commonwealth, le Great Reset constitue ce qu’Emmanuel Macron a pudiquement appelé « le jour d’après ». Il forme, outre-Atlantique, la colonne vertébrale du programme de Joe Biden. Une fois que l’on a pris connaissance de ce plan et qu’on l’a compris, l’action gouvernementale et les mesures Covid-19 que l’on croyait absurdes deviennent tout à fait cohérentes. Une cohérence impossible à assumer politiquement auprès du grand public.
Emmanuel Macron, promoteur zélé du Great Reset, ici à l’Élysée le 24 avril 2020 :
Nous vous épargnons ici les innombrables mentions des termes « durable » (comprendre « malthusien »), « inclusif » (comprendre « abolition des identités et des valeurs traditionnelles ») et « résilient » (comprendre « destructeur ») qui pourraient composer la nouvelle devise de ce système politique qui, au prétexte du Covid-19, présenté comme une « menace publique, universelle et existentielle », entend « redéfinir notre humanité ». Aboutissement du projet mondialiste, ce plan tout à fait diabolique fondé sur la « destruction créatrice » (la conception kabbaliste du monde) est actuellement appliqué sous nos yeux. En raison de l’urgence de la situation, Faits & Documents présente pour Égalité & Réconciliation un bref condensé de l’ouvrage Covid-19 : The Great Reset dont aucun média français n’a fait écho malgré son importance majeure. Les origines, les implications, les non-dits et les acteurs de ce plan sont présentés en profondeur dans Coronavirus : La Vraie Chronologie la série événement de F&D (n°482 à 489).
Tentative d’imposer « coûte que coûte » le Nouvel Ordre mondial, le Great Reset avance à découvert. Ici en couverture du Time à paraître le 2 novembre prochain :
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Voici, sans commentaires, quelques citations tirées de « COVID-19 : The Great Reset » :
« La gouvernance mondiale est au cœur de toutes les autres questions. »
« L’hypothèse fondamentale est que la pandémie pourrait continuer à nous affecter jusqu’en 2022. […] Un retour complet à la "normale" ne peut être envisagé avant qu’un vaccin ne soit disponible. »
« Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est courte : jamais. […] Il y aura une ère "avant le coronavirus" (av. C) et "après le coronavirus" (apr. C). »
« Lorsqu’ils y sont confrontés, certains dirigeants de l’industrie et certains cadres supérieurs peuvent être tentés d’assimiler la réinitialisation à un redémarrage. […] . Cela n’arrivera pas parce que cela ne peut pas arriver ».
« Les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la disparition de la pandémie elle-même, justifiant la décision de nombreuses entreprises de différents secteurs d’accélérer l’automatisation. »
« Il est loin d’être certain que la crise du COVID-19 fasse pencher la balance en faveur du travail contre le capital. Politiquement et socialement, cela serait possible, mais la technologie change la donne. »
« Jusqu’à 86 % des emplois dans la restauration, 75 % des emplois dans le commerce de détail et 59 % des emplois dans le divertissement pourraient être automatisés d’ici à 2035. »
« Jusqu’à 75 % des restaurants indépendants pourraient ne pas survivre aux verrouillages et aux mesures de distanciation sociale ultérieures. »
« Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée. »
« La "tyrannie de la croissance du PIB" prendra fin. »
« La fiscalité augmentera. Comme par le passé, la logique sociale et la justification politique qui sous-tendent les augmentations seront basées sur le récit des "pays en guerre" (mais cette fois contre un ennemi invisible). »
« Le contrôle public des entreprises privées augmentera. »
« Les entreprises n’adhéreront pas nécessairement à ces mesures parce qu’elles les considèrent comme "bonnes", mais plutôt parce que le "prix" à payer pour ne pas s’y soumettre sera trop élevé en termes de colère des militants. »
« L’activisme des jeunes s’accroît dans le monde, étant révolutionné par les réseaux sociaux qui accentuent la mobilisation à un niveau qui aurait été impossible auparavant. Il prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits LGBTQ. La jeune génération est fermement à l’avant-garde du changement social. Il ne fait aucun doute qu’elle sera le catalyseur du changement et une source d’élan critique pour le Great Reset. »
« Avec le confinement, notre attachement à nos proches s’est renforcé, avec un sentiment renouvelé d’appréciation pour tous ceux que nous aimons : la famille et les amis. Mais le côté sombre à cela est le déclenchement d’une montée des sentiments patriotiques et nationalistes, avec des considérations religieuses et ethniques troublantes. En fin de compte, ce mélange toxique a fait ressortir le pire de nous-mêmes en tant que groupe social. »
« Vu en ces termes, le coronavirus a renforcé et non réinitialisé les problèmes liés à la santé mentale. […] Dans l’ère post-pandémique, ces questions peuvent désormais recevoir la priorité qu’elles méritent. Cela constituera une réinitialisation vitale. »
« La pandémie de Covid-19 démontre ce que nous savons tous : des millénaires de patriarcat ont abouti à un monde dominé par les hommes avec une culture dominée par les hommes qui nuit à tout le monde, femmes, hommes, filles et garçons », explique Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU sur Twitter dans le cadre du Great Reset :
« La combinaison de l’intelligence artificielle (IA), de l’Internet des objets (IoT) et des capteurs et de la technologie portable produira de nouvelles perspectives sur le bien-être personnel. Ils surveilleront ce que nous sommes et ce que nous ressentons, et brouilleront progressivement les frontières entre les systèmes de santé publics et les systèmes de création de santé personnalisés – une distinction qui finira par s’effondrer. »
« L’impératif actuel de propulser, quoi qu’il arrive, "l’économie sans contact" et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifient qu’il n’y a plus de blocage. »
« Au fur et à mesure que la distanciation sociale et physique persistera, s’appuyer davantage sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander des conseils ou commander quelque chose gagnera peu à peu du terrain sur des habitudes autrefois enracinées […]. Si les considérations de santé deviennent primordiales, nous pouvons décider, par exemple, qu’un cours de cyclisme devant un écran à la maison ne correspond pas à la convivialité et au plaisir de le faire avec un groupe dans un cours en direct, mais est en fait plus sûr (et moins cher !). Le même raisonnement s’applique à de nombreux domaines différents comme prendre l’avion pour une réunion (Zoom est plus sûr, moins cher, plus vert et beaucoup plus pratique), se rendre à une réunion de famille éloignée pour le week-end (le groupe familial WhatsApp n’est pas aussi amusant mais, encore une fois, plus sûr, moins cher et plus écologique) ou même suivre un cours académique (pas aussi enrichissant, mais moins cher et plus pratique) ».
« L’endiguement de la pandémie de coronavirus nécessitera un réseau de surveillance mondial. »
« La recherche des contacts a une capacité inégalée et une place quasi essentielle dans l’arsenal de lutte contre le COVID-19, tout en étant en même temps positionnée pour devenir un catalyseur de la surveillance de masse. »
« Au cours des mois et des années à venir, le compromis entre les avantages pour la santé publique et la perte de la vie privée sera soigneusement pesé, devenant le sujet de nombreuses conversations et de débats animés. La plupart des gens, craignant le danger du COVID-19, se demanderont : n’est-il pas insensé de ne pas tirer parti de la puissance de la technologie pour venir à notre secours lorsque nous sommes victimes d’une épidémie et que nous sommes confrontés à une sorte de situation de vie ou de mort ? Ils seront alors disposés à renoncer à une grande partie de leur vie privée et conviendront que dans de telles circonstances, le pouvoir public peut légitimement passer outre les droits individuels. »
« À première vue, la pandémie et l’environnement peuvent sembler n’être que des cousins éloignés ; mais ils sont beaucoup plus proches et entrelacés qu’on ne le pense. […] Ils sont de nature mondiale et ne peuvent donc être correctement traités que d’une manière coordonnée au niveau mondial. »
« Plus la croissance démographique est élevée, plus nous perturbons l’environnement, plus le risque de nouvelles pandémies est élevé. »
« La fragilité des États reste l’un des défis mondiaux les plus critiques, particulièrement répandu en Afrique. […] La rupture des chaînes commerciales et d’approvisionnement causée par la pandémie provoquera une dévastation immédiate. »
« L’un des effets les plus évidents pour les parties les plus riches du monde de la misère économique, du mécontentement et de la faim dans les États les plus fragiles et les plus pauvres consistera en une nouvelle vague de migration de masse dans sa direction, comme celles qui ont eu lieu en Europe en 2016. »
« Bienvenu en 2030. Je ne possède rien, je n’ai pas de vie privée, et la vie n’a jamais été aussi belle » peut-on lire dans ce tweet publié par le Forum économique mondial en 2017 :
L’archevêque Carlo Maria Vigano dénonce le Great Reset et appelle Donald Trump à l’aide (source) :
LETTRE OUVERTE
AU PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE DONALD J. TRUMP
Dimanche 25 octobre 2020
Solennité du Christ-Roi
Monsieur le Président,
Permettez-moi de m’adresser à vous en cette heure où le sort du monde entier est menacé par une conspiration mondiale contre Dieu et l’humanité. Je vous écris en tant qu’archevêque, en tant que successeur des apôtres, en tant qu’ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique. Je vous écris au milieu du silence des autorités civiles et religieuses. Puissiez-vous accepter ces paroles comme la voix de celui qui crie dans le désert »(Jn 1, 23). Comme je l’ai dit lorsque je vous ai écrit ma lettre en juin, ce moment historique voit les forces du Mal alignées dans une bataille sans quartier contre les forces du Bien ; des forces du Mal qui apparaissent puissantes et organisées alors qu’elles s’opposent aux enfants de la Lumière, qui sont désorientés et désorganisés, abandonnés par leurs chefs temporels et spirituels.
Chaque jour, on sent les attaques se multiplier de ceux qui veulent détruire la base même de la société : la famille naturelle, le respect de la vie humaine, l’amour de la patrie, la liberté de l’éducation et des affaires. Nous voyons des chefs de nations et des chefs religieux se plier à ce suicide de la culture occidentale et de son âme chrétienne, tandis que les droits fondamentaux des citoyens et des croyants sont niés au nom d’une urgence sanitaire qui se révèle de plus en plus instrumentale à l’établissement d’une tyrannie inhumaine et sans visage.
Un plan mondial appelé Great Reset est en cours. Son architecte est une élite mondiale qui veut soumettre toute l’humanité, imposant des mesures coercitives avec lesquelles limiter drastiquement les libertés individuelles et celles de populations entières. Dans plusieurs pays, ce plan a déjà été approuvé et financé ; dans d’autres, il n’en est qu’à ses débuts. Derrière les dirigeants mondiaux qui sont les complices et les exécuteurs de ce projet infernal, il y a des personnages sans scrupules qui financent le Forum économique mondial et l’événement 201, faisant la promotion de leur agenda.
Le but de la Grande Réinitialisation est l’imposition d’une dictature de la santé visant à l’imposition de mesures liberticides, cachées derrière des promesses tentantes d’assurer un revenu universel et d’annuler la dette individuelle. Le prix de ces concessions du Fonds monétaire international sera la renonciation à la propriété privée et l’adhésion à un programme de vaccination contre Covid-19 et Covid-21 promu par Bill Gates avec la collaboration des principaux groupes pharmaceutiques. Au-delà des énormes intérêts économiques qui motivent les promoteurs de la Grande Réinitialisation, l’imposition de la vaccination s’accompagnera de l’exigence d’un passeport sanitaire et d’une identification numérique, avec pour conséquence le suivi des contacts de la population du monde entier. Ceux qui n’accepteront pas ces mesures seront confinés dans des camps de détention ou placés en résidence surveillée et tous leurs biens seront confisqués.
Monsieur le Président, j’imagine que vous savez déjà que dans certains pays, la Grande Réinitialisation sera activée entre la fin de cette année et le premier trimestre de 2021. A cet effet, de nouveaux verrouillages sont prévus, qui seront officiellement justifiés par un supposée deuxième et troisième vague de la pandémie. Vous connaissez bien les moyens qui ont été déployés pour semer la panique et légitimer les limitations draconiennes des libertés individuelles, provoquant astucieusement une crise économique mondiale. Dans les intentions de ses architectes, cette crise servira à rendre irréversible le recours des nations à la Grande Réinitialisation, donnant ainsi le coup final à un monde dont ils veulent complètement annuler l’existence et la mémoire même. Mais ce monde, Monsieur le Président, comprend les gens, les affections, les institutions, la foi, la culture, les traditions et les idéaux : des gens et des valeurs qui n’agissent pas comme des automates, qui n’obéissent pas comme des machines, parce qu’ils sont dotés d’une âme et d’une cœur, parce qu’ils sont liés entre eux par un lien spirituel qui puise sa force d’en haut, de ce Dieu que nos adversaires veulent défier, tout comme Lucifer le faisait au début des temps avec son « non serviam ».
Beaucoup de gens – on le sait bien – sont agacés par cette référence à l’affrontement entre le Bien et le Mal et l’utilisation de connotations « apocalyptiques », qui selon eux exaspère les esprits et aiguise les divisions. Il n’est pas surprenant que l’ennemi soit en colère d’être découvert au moment même où il croit avoir atteint la citadelle qu’il cherche à conquérir sans être dérangé. Ce qui est surprenant, cependant, c’est qu’il n’y a personne pour tirer la sonnette d’alarme. La réaction de l’État profond à ceux qui dénoncent son plan est brisée et incohérente, mais compréhensible. Juste au moment où la complicité des médias traditionnels avait réussi à rendre la transition vers le Nouvel Ordre Mondial presque indolore et inaperçue, toutes sortes de tromperies, de scandales et de crimes se font jour.
Jusqu’à il y a quelques mois, il était facile de dénigrer en tant que « théoriciens du complot » ceux qui dénonçaient ces plans terribles, que l’on voit maintenant se réaliser dans les moindres détails. Personne, jusqu’en février dernier, n’aurait jamais pensé que, dans toutes nos villes, des citoyens seraient arrêtés simplement pour avoir voulu marcher dans la rue, respirer, vouloir garder leurs affaires ouvertes, vouloir aller à l’église le dimanche. Pourtant, maintenant, cela se passe partout dans le monde, même dans une Italie de carte postale que de nombreux Américains considèrent comme un petit pays enchanté, avec ses monuments anciens, ses églises, ses villes charmantes, ses villages caractéristiques. Et tandis que les politiciens sont barricadés à l’intérieur de leurs palais promulguant des décrets comme des satrapes persans, les entreprises font faillite, les magasins ferment et les gens sont empêchés de vivre, de voyager, de travailler et de prier. Les conséquences psychologiques désastreuses de cette opération se voient déjà, à commencer par les suicides d’entrepreneurs désespérés et de nos enfants, séparés de leurs amis et camarades de classe, invités à suivre leurs cours assis seuls à la maison devant un ordinateur.
Dans la Sainte Écriture, Saint Paul nous parle de « celui qui s’oppose » à la manifestation du mystère de l’iniquité, le kathèkon (2 Th 2, 6-7). Dans le domaine religieux, cet obstacle au mal est l’Église, et en particulier la papauté ; dans la sphère politique, ce sont ceux qui font obstacle à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.
Comme il l’est clair maintenant, celui qui occupe la présidence de Peter a trahi son rôle dès le début afin de défendre et de promouvoir l’idéologie mondialiste, en soutenant l’agenda de l’Église profonde, qui l’a choisi dans ses rangs.
Monsieur le Président, vous avez clairement déclaré que vous vouliez défendre la Nation Unique sous Dieu, les libertés fondamentales et les valeurs non négociables qui sont niées et combattues aujourd’hui. C’est vous, cher président, qui êtes celui qui vous oppose à « l’État profond, l’assaut final des enfants des ténèbres.
Pour cette raison, il est nécessaire que toutes les personnes de bonne volonté soient persuadées de l’importance historique de l’élection imminente : pas tant pour tel ou tel programme politique, mais à cause de l’inspiration générale de votre action qui incarne le mieux – dans ce contexte historique particulier – ce monde, notre monde, qu’ils veulent annuler par le biais du verrouillage. Votre adversaire est aussi notre adversaire : c’est l’ennemi du genre humain, celui qui est un meurtrier depuis le début »(Jn 8, 44).
Autour de vous sont rassemblés avec foi et courage ceux qui vous considèrent comme la garnison finale contre la dictature mondiale. L’alternative est de voter pour une personne manipulée par l’État profond, gravement compromise par les scandales et la corruption, qui fera aux États-Unis ce que Jorge Mario Bergoglio fait à l’Église, le Premier ministre Conte en Italie, le président Macron en France. , Premier ministre Sanchez en Espagne, et ainsi de suite. La nature blackmailable de Joe Biden – tout comme celle des prélats du « cercle magique » du Vatican l’exposera à être utilisé sans scrupules, permettant à des pouvoirs illégitimes d’interférer à la fois dans la politique intérieure et dans les équilibres internationaux. Il est évident que ceux qui le manipulent ont déjà quelqu’un de pire que lui prêt, avec qui ils le remplaceront dès que l’occasion se présentera.
Et pourtant, au milieu de cette sombre image, cette avancée apparemment imparable de « l’ennemi invisible », un élément d’espoir émerge. L’adversaire ne sait pas aimer, et il ne comprend pas qu’il ne suffit pas d’assurer un revenu universel ou d’annuler les hypothèques pour subjuguer les masses et les convaincre d’être stigmatisées comme du bétail. Ce peuple, qui subit depuis trop longtemps les abus d’un pouvoir haineux et tyrannique, redécouvre qu’il a une âme ; il comprend qu’il n’est pas disposé à échanger sa liberté contre l’homogénéisation et l’annulation de son identité ; il commence à comprendre la valeur des liens familiaux et sociaux, des liens de foi et de culture qui unissent les honnêtes gens. Cette grande réinitialisation est vouée à l’échec car ceux qui l’ont planifiée ne comprennent pas qu’il y a encore des gens prêts à descendre dans la rue pour défendre leurs droits, pour protéger leurs proches, pour donner un avenir à leurs enfants et petits-enfants. L’inhumanité nivelante du projet mondialiste se brisera misérablement face à l’opposition ferme et courageuse des enfants de la Lumière. L’ennemi a Satan de son côté. Celui qui ne sait que haïr. Mais de notre côté, nous avons le Seigneur Tout-Puissant, le Dieu des armées déployées pour la bataille, et la Très Sainte Vierge, qui écrasera la tête de l’ancien Serpent. « Si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous ? » (Rom 8:31).
Monsieur le Président, vous savez bien qu’en cette heure cruciale, les États-Unis d’Amérique sont considérés comme le mur de défense contre lequel la guerre déclarée par les partisans du mondialisme s’est déclenchée. Mettez votre confiance dans le Seigneur, fortifiés par les paroles de l’apôtre Paul : « Je peux tout en celui qui me fortifie » (Ph 4, 13). Être un instrument de la Divine Providence est une grande responsabilité, pour laquelle vous recevez certainement toutes les grâces d’État dont vous avez besoin, puisqu’elles sont implorées avec ferveur pour vous par les nombreuses personnes qui vous soutiennent par leurs prières.
Avec cette espérance céleste et l’assurance de ma prière pour vous, pour la Première Dame et pour vos collaborateurs, de tout mon cœur je vous envoie ma bénédiction
Que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique !
+ Carlo Maria Viganò
Archevêque d’Ulpiana
Ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique

Lettre en version originale
La lettre a été confirmée par le président Trump et le Général Flynn sur leur comptes twitter respectifs :
Donald Trump : https://www.ncronline.org/news/people/tweet-trump-puts-controversial-archbishop-vigan-back-us-politics
Général Michael Flynn : https://twitter.com/GenFlynn/status/1322152364065886208?s=20
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Site officiel : https://www.dissept.com