Pablo Servigne & François Ruffin : une dernière bière avant la fin du monde
Entretien entre Pablo Servigne et François Ruffin, avec une dernière bière et une dernière frite avant, peut-être, la fin du monde... (tel que nous le connaissons).
11 réactions
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Ozi 2 novembre 2018 17:01Un entretien de référence, les travaux de Servigne sont très intéressants, merci.
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Le Celte 3 novembre 2018 10:41Comment expliquer aux milliers de Français du 17 novembre que la transition énergétique est vraiment en marche et qu’il va falloir inventer un nouveau style de consommer, beaucoup plus raisonné.
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ged252 3 novembre 2018 11:00C’est la version 2018 de ça :
https://www.youtube.com/watch?v=RuSUpqdYV-I
Rien de nouveau, les mêmes discours éculés et débiles,
On voit les résultats, des générations de zombies sans cervelle
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ged252 3 novembre 2018 11:32-
Le Celte 3 novembre 2018 12:16Salut @ged252
C’est quoi la comparaison avec les hippies ?Tiens un truc qui va te faire bondir !...le néo-paganisme déluré made à l’américaine !
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Gollum 3 novembre 2018 16:17Passionnant. Je recommande.
Je vois que l’on a toujours les mêmes esprits débiles (issus de la même secte comme par hasard) pour dénigrer.
Cela ne peut pas plaire à la mouche puisqu’on y parle d’évolution darwinienne, qui soit dit en passant, accordait (citation à l’appui) autant de valeur à l’entraide qu’à la compétition dans l’évolution..
J’ai particulièrement été intéressé par l’aspect : les guerres de religion ont détruit la confiance dans la nature humaine..
J’ai envie de rajouter que cette nature humaine avait déjà été singulièrement avilie par la doctrine du péché originel qui diabolisait à outrance l’homme. Il suffit de relire certains textes de divers théologiens pour s’en convaincre. Luther notamment fut d’un pessimisme outrancier.
Et la conséquence en fut que la bonté ne pouvait être que surnaturelle, l’homme étant incapable de façon naturelle d’entraide et de bonté.
Or les dernières recherches nous montrent exactement l’inverse. L’entraide existe déjà dès les premières formes de vie, notamment au niveau du végétal.
C’est toute une image de l’homme qui se trouve ainsi renouvelée en profondeur et à rebours des anciens paradigmes, capitalistes, comme religieux (je parle des religions occidentales)..
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Gollum 5 novembre 2018 18:39@pegase
Non je ne plaisante pas. Il y a bien une dimension religieuse même si elle n’est pas la seule, ni même forcément la principale.
Les religions n’étant rien d’autre que des idéologies, pour beaucoup d’entre elles, il est fatal qu’elles se frictionnent avec leurs rivales.
Pour ce qui est du catholicisme, qui au XVIème siècle n’avait pas de rivaux, hormis l’orthodoxie cantonnée à l’est, la survenue du protestantisme fut une catastrophe majeure qu’il fallait éradiquer comme fut éradiqué le catharisme en son temps.