@JL
Un état en faillite, c’est le paradis pour les industriels : plus les moyens de faire des contrôles. Donc un état en faillite peut faire autant de lois qu’il veut (pour, par exemple, justifier un nombre pléthorique d’hommes politiques dont la fonction est justement d’agrandir le millefeuille), s’il ne peut plus les contrôler, c’est comme s’il n’y en avait aucune.
Et on l’a bien vu avec le Covid et le consentement libre et éclairé pourtant inscrit dans la déclaration d’Helsinki. La loi, c’est du PQ, et c’est bien l’objectif de ceux qui prônent le "libéralisme" : faire ce que l’on veut (quand on a les moyens évidemment) sans jamais être inquiété des conséquences néfastes sur les autres. Pourquoi devrais-je rendre des comptes si je crée un virus mortel qui s’"échappe" de mon laboratoire ? Que ceux qui ont les moyens fassent absolument tout ce qu’ils veulent, y compris utiliser les autres comme de vulgaires cobayes. Voilà l’objectif ... déjà atteint.