jeudi 1er juin 2017 - par Nigari

"Mon identité, c’est mon genre"... Partons à la découverte de l’être "non-binaire"

Qui suis-je ? Un homme ou une femme ?

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Pour la majorité d’entre nous, cette question trouve une réponse quasi immédiate mais qu’en est-il pour les personnes s’identifiant en dehors de ces 2 catégories ? Le genre est-il réduit à une simple dualité ou est-il infini en fonction des aspirations de chacun ? Il existe des personnes dites non binaires c’est à dire ni complètement homme, ni complètement femme ou les deux à la fois. Cette minorité encore ignorée du grand public trouve telle sa place au sein de notre société ?
Ce reportage a remporté le deuxième prix du jury décerné par Arlette Chabot....

 

 

On arrête pas le progrès...

 



12 réactions


  • psychorigide psychorigide 1er juin 2017 11:13

    Assumer ses différences a toujours été un problème en société. Mais d’où viendrait que c’est la société qui devrait assumer toutes les différences ? Ces jeunes gens vivent dans un univers mental construit par une minorité LGBT. Autant dire qu’ils ont peu de chances de comprendre leur position dans le dispositif social, puisqu’on leur explique que le dispositif doit juste d’adapter à leur situation. C’est pas demain la veille, si j’en crois les nouvelles venues de banlieue.


    • Folken Folken 1er juin 2017 17:39

      Le faite que tous les intervenants "non binaire" de cette interview ne correspondent pas aux critères de beauté actuels y est pour bcp aussi. Des gros, des moches, des boutonneux et des mal foutus qui sont évidement rejeté et malmené pour la laideur et la grossièreté de leur aspect depuis que les enfants on l’age de montrer du doigt. 

      Il doit être rassurant pour eux de se trouver un monde "alternatif" ou la norme est remise en question, car ils savent très bien que dans le monde réel ils sont condamné à en chier. Difficulté pour trouver du travail, difficulté pour rencontrer l’amour, difficulté relationnelle, sans parler du faite que l’isolement provoqué par la laideur non assumé empêche de développer des caractères de sociabilité et d’échange avec ses congénères pendant la structuration de la personnalité au moment clef de l’adolescence.


    • Folken Folken 1er juin 2017 17:51

      @yoananda
      Moches du monde entier unissez vous !! Vous êtes les plus nombreux. Je trouve que la beauté ressemble beaucoup à la richesse. Peut de chance de le devenir, et bien qu’étant les plus nombreux sont toujours les derniers servis.


  • Mahler 1er juin 2017 13:06

    Y’a pas dans cette situation à diviser en binaire/ non binaire, les non binaires qui se sentent les deux ou aucun des deux sont des cas malades, ça relève plus de la psychiatrie que autre chose. La complexité n’existe pas dans tout, être homme ou femme est quelque chose de simple, une création de la nature ayant pour but essentiellement la reproduction de l’espèce


  • voltmètre voltmètre 1er juin 2017 17:27

    Le débat est faussé, même si il a toujours existé des "hors normes " , tout ce qui est balancé dans la flotte ( de plus en plus de poissons ont deux sexes ) , ce qu’ on nous fait bouffer, etc, n’est sûrement pas étranger à ce phénomène, seulement, le dévoiler dérangerait le business pharma, qui derrière se refait une cagnotte pour " aider " à remédier aux problèmes . La boucle est bouclée .


    • Nigari Nigari 1er juin 2017 22:39

      @voltmètre
      Oui c’est un point essentiel..... D’un côté la vague du gender avec ses multiples facettes/cases/sexe à choix multiple (pour sortir des - deux - cases qu’ils disent) et de l’autre la vague des perturbateurs endocriniens qui féminisent les mâles et accélèrent l’arrivée de la puberté. Ces deux phénomènes - théorie du genre et pollution chimique - sont à relier, bien qu’on parle très peu du deuxième et des causes à effets (sachant également qu’il existe un "abrutissement chimique"* de la société, n’arrangeant pas les choses...). Rajoutez par là-dessus une propagande virulente (pornographie devenue culturelle + nouveaux programmes d’éducation sexuelle) visant à totalement débrider/déglinguer les moeurs sexuelles dès le plus jeune âge ; avec l’avancée rampante de la tolérance - puis acceptation/légalisation - de la pédophilie avec les "droits sexuels" qui se pointent à l’horizon....

      Puberté précoce + hypersexualisation ambiante + "droits sexuels (des enfants)" = paradis à pédophiles malencontreusement mis en place par paliers successifs n’étant que le fruit du hasard moderniste... 

      http://sante.lefigaro.fr/article/perturbateurs-endocriniens-d-etonnants-pics-de-puberte-precoce-a-lyon-et-toulouse

      http://www.fdesouche.com/606455-linquietante-evolution-de-la-puberte

      http://www.atlantico.fr/decryptage/plus-en-plus-jeunes-inquietante-evolution-puberte-en-france-alain-scheimann-1011395.html

      * Dans le documentaire "Sweet Remedy" (2006), le neurologue Russell Blaylock a de ?clare ? qu’il existait ve ?ritablement un "abrutissement chimique de la socie ?te ?" : "A ? cause de ces diffe ?rentes toxines qui affectent les fonctions ce ?re ?brales de fac ?on notoire, nous voyons une socie ?te ? qui produit, non seulement l’accroissement d’une population au QI de plus en plus bas, mais aussi une diminution de la population au QI e ?leve ?. En d’autres mots : Un abrutissement chimique de la socie ?te ?. Ainsi tout le monde devient me ?diocre, ce qui re ?duit la population a ? devenir de ?pendante du gouvernement car elle ne peut plus e ?tre intellectuellement performante. Il y a ces gens au QI le plus bas qui sont comple ?tements de ?pendants, nous avons cette population massive qui va croire tout ce qu’on lui dit parce qu’ils ne peuvent pas vraiment penser clairement. Puis il y a une minorite ? de personnes au QI e ?leve ?, avec de bonnes fonctions ce ?re ?brales, a ? me ?me de comprendre tout cela, et c’est ce qu’ils veulent ! Vous pouvez ainsi comprendre les raisons qui les poussent a ? de ?penser avec insistance des centaines de milliards de dollars en publicite ? : le but est d’abrutir la population."


    • gaijin gaijin 2 juin 2017 11:41

      @pegase
      des hommes avec des poils ?

      ça se fait de plus en rare la mode unisexe c’est l’épilage intégral ............


    • baleti baleti 3 juin 2017 04:41

      @pegase

       ""Des hommes, des vrais, avec des poils ?""

      Ce raccourcis de la virilité vers les poils, n’est t’il pas un des problèmes de ses "maladie" de la personnalité ?

      La société, n’ayant aucune définition unanime de se que serai un vrai homme ou une vrai femme, les portes sont ouverte au spéculation et surtout au définition biscornue qui nourrirais les intérêts de ceux qui ont la parole.(l’argent et le pouvoir)

      Si les société moderne, poussent les population a la beauté physique, c’est déjà par se que commercialement sa rapporte gros. Et si la féminisation de nos société étais aussi une affaire de gros sous ? la coquetterie pousse a la consommation sans limite. Je pense aussi que se phénomène est injecter chimiquement dans les populations, mais a surtout comme but de réduire et contrôler la fécondité mondial.Il y a d’autre raison,beaucoup plus machiavélique, qui démoralise nos société,par le biais de meurs débrider.

      Il y a toujours eu des gens qui ne se sentent ni homme ni femme, ou les deux en même temps,ect... et depuis toujours, les seuls réponse vont vers "la maladie" la psychologie en particulier.Si beaucoup son persuader qu’il y a des réponse chimique ou biologique, le débat est clôturer. Tabou, ou politico-financier ????????

      Le soleil vert est pour bientôt ?

      nos besoin "primitif" seront gérer par une simple capsule, en tous cas la communauté scientifique, pharmaceutique en particulier, ne s’en cache pas.



  • gaijin gaijin 2 juin 2017 09:09

    un autre point a soulever est la focalisation sur le sexe :
    est ce la seule chose qui définit une personne et le centre sur lequel construire une identité ?
    il semblerait que oui ......pauvre humanité .........
    quand a la chose qui se définit comme une femme transgenre non binaire ils sont combien la dedans ? c’est quoi son problème savoir dans quels chiottes elle va pisser ? au lieu de se servir de sa singularité pour s’interroger sur qui elle est en tant qu’être humain elle veut qu’on lui installe des chiottes ?
    non mais allo ?


    • wendigo wendigo 3 juin 2017 08:00

      @gaijin

       Je ne sais plus quel est l’acteur célèbre d’hollywood (et pas trop con ce qui est assez rare pour être souligné) a dit il y a peu :
      "nous avons 1 milliard d’être humains qui crèvent de faim et le seul débat qui intéresse la campagne présidentielle est de savoir dans quel chiote aller pisser".


  • tobor tobor 2 juin 2017 20:40

    Ces personnes, qui se définissent comme "inter-sexes" et non comme trans, sont à mon sens les vrai/es et légitimes objet d’un combat concernant "le genre" et pas celui que pointe ce reportage.
    Le vrai combat est pour faire cesser les opérations/mutilations qui sont appliqué dès la naissance en vue d’orienter des créatures hermaphrodites vers un genre ou l’autre. C’est l’ablation de parties visibles antagoniste à ce qui apparaît subjectivement comme dominant et des traitements à base d’hormones pour pousser dans la direction voulue.
    .
    Ces individus sont en crise identitaire et découvrent généralement leur statut particulier tardivement, suite à des recherches personnelles, ils/elles auraient souhaités pouvoir se développer naturellement, ce qui ne leur a irrémédiablement pas été accordé.
    .
    Ils/elles rejoignent les rangs LGBT où leur vrai combat se trouve dénaturé et amalgamé au désire de reconnaissance et d’acceptation d’un "choix de genre" qui serait une des liberté fondamentale.
    Cependant, les hôpitaux continuent à régler ces hermaphrodites de la même manière.
    .
    http://info.arte.tv/fr/france-netre-ni-fille-ni-garcon


  • Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 4 juin 2017 10:42

    @Nigari
    "Qui suis-je ? Un homme ou une femme ?"


    Quelle est la réponse ? 

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