@L’Equatorien
"vivement que l’éternel retour du concret leur tombe sur le coin de la tronche et se retrouvent à la rue à se battre pour un bout de pain"
Quelles vilaines pensées vous avez là !
Ils sont trop vieux pour ça, ils mourront tranquillement dans un bon lit de plumes, dans leur maison de campagne payée avec vos impôts (presse subventionnée oblige) et avec une pulpeuse infirmière pour leur tenir la main (ou autre chose, ça dépend des options).