Quelle belle brochette d’enculés, Macé-Scaron le faussaire plagiaire qui écrit les discours de Fillon... Quel milieu de pourritures que ce parisianisme arrogant, méprisant, suffisant, dépassé, vivement que l’éternel retour du concret leur tombe sur le coin de la tronche et se retrouvent à la rue à se battre pour un bout de pain, aucun d’entre eux ne tiendrait trois jours dans la rue, bande de petites merdes.