Mazerolle, une caricature de propagandiste, un totem, une icône.
Ce "journaliste" justifie la sélection qu’il fait au nom des citoyens, des candidats présentables. Et tacle Internet au passage, vexé du déplacement de l’audience vers ce média qu’il ne connait pas, se rassurant de l’influence qu’il peut encore avoir dans la petite fenêtre de la TV.
Quel pitoyable chien de garde au poil collant de bienpensance.