@pegase
Une petite vidéo d’un ancien membre de l’UPR.
Wikipedia IGF :
Carrières offertes aux membres de l’Inspection générale des finances
L’inspection a la réputation d’être un formidable accélérateur de carrière. La plupart des membres du corps poursuivent une carrière dans le service public, dans des administrations centrales de l’État (notamment à la direction générale du Trésor), dans des établissements publics, dans des autorités de régulation, dans des collectivités territoriales ou dans des organisations internationales.
Par exemple, sont des inspecteurs des finances :
- l’ancien secrétaire d’État aux Finances, ancien Ministre des Finances et des Affaires Économiques et ancien Président de la République Française Valéry Giscard d’Estaing
- l’ancien président de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet ;
- l’ancien directeur général de la Caisse des dépôts et consignations et actuel secrétaire général de la Présidence de la République, Jean-Pierre Jouyet ;
- l’ancien directeur de l’Organisation mondiale du commerce Pascal Lamy ;
- l’ancien directeur de l’Agence française de développement Jean-Michel Severino.
Critiques
Sorte d’« élite de l’élite11 », au sommet de la hiérarchie créée par la sélection à la française, l’Inspection des finances alimente nombre de suspicions et de critiques, justifiées ou exagérées, sur le caractère fermé et mandarinal du pouvoir en France. Dans les années 1990, les scandales financiers dont ont été victimes des entreprises à la tête desquelles se trouvaient des inspecteurs des finances (Vivendi avec J.-M. Messier, Alstom avec P. Bilger, Crédit lyonnais avec J.-Y. Haberer, France Telecom avec M. Bon, Elf avec P. Jaffré) ont alimenté les critiques de l’institution.
L’IGF est également régulièrement critiquée pour être « un placard doré » et pour recaser les proches des politiques en fin de carrière12.
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