sls0 sls0 7 mars 2017 20:09

@yoananda
comme je disais, au delà de 35 points de différence de QI, il est très difficile pour 2 personnes de se comprendre.

Pour être honnête mon QI ce n’est pas 67 et vivre dans un pays à 82 de moyenne pourrait amener à une forme d’autisme, comme certains pays d’Amérique latine et d’autres continents c’est assez le désert culturel au bout d’un certain temps ça fait vide, il y a un manque.

On arrive toujours à se comprendre même s’il faut pour cela employer le plus petit dénominateur commun.
Je réside dans un endroit pauvre donc à QI assez faible, dans une zone sismique la construction (souvent de l’autoconstruction) est déplorable. Ca s’est sérieusement amélioré, je n’est pas employé les notes de calcul de l’EUROCODE, une petite table vibrante, des spaghettis et un pistolet à colle ont été suffisant pour expliquer.
Si on a des facilités pour certains raisonnements, si c’est pour être utile on arrive toujours se faire comprendre.

J’ai côtoyé peu de temps du ’’HP’’ au bout de la troisième fois on vous propose d’être dans le bottin HP, là j’ai compris que la corrélation entre le QI et l’intelligence ce n’était pas une certitude loin de là. C’est un peu comme le paon qui est fier de sa queue qui lui est parfaitement inutile fonctionnellement.

Plus on vieilli moins on a de certitudes, on a plus de connaissances mais on a appris à douter. Mao c’est des certitudes qui datent de 61 ans qui le guident, ça m’étonne, normalement une vie c’est une évolution, si on fait pas trop le con ça amène parfois à la sagesse. Il y a un proverbe zen qui dit grands doutes> grand éveil, petits doutes> petit éveil, des certitudes invariantes ça laisse peu de place pour l’éveil.
Ses rappels à son QI exceptionnel me font penser peut être à tord à un paon, à son âge normalement on a plus rien à prouver.
Ca n’a rien de personnel, quand une personne trouve une voie souvent elle reste discrète, à part une petite douzaine de personnes qui ont eu la capacité d’en parler, c’est souvent la discrétion, à la limite on répond aux questions mais il n’y a pas de promotion.
Quand j’écris répondre aux questions, c’est plus dans le genre de ce qui est nocif plutôt que ce qu’il faut faire, à chacun sa voie, le chemin de l’un n’est pas le chemin de l’autre.

En me relisant je m’aperçoit que j’emploie le mot doute, c’est vrai que grammaticalement et phonétiquement parlant ça sonne mieux que non certitude, mais le sens à lui donner c’est non certitude.


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