J’écris comme si j’allais mourir demain ; alors empressée, je me
précipite pour écrire et informer, cette obsession d’informer qui ne me lâche jamais ; car je
me dis toujours, "on ne sait jamais, on ne sait jamais". C’est alors
qu’une fois édité, je m’aperçois trop tard des fautes, çà et là, et des fautes parfois, les plus grotesques du monde, comme à l’exemple, astronaute et non ( astraunaute).