berphi 13 juillet 2016 14:07

@Doctorix
La tendance naturelle des épidémies est la disparition spontanée. Ebola en est un exemple évident. Le vaccin arrive en fin d’épidémie, et s’attribue les mérites d’une disparition dont il n’est pas l’auteur, quand il ne la prolonge pas, comme ce fut le cas pour la polio

Vous y allez fort. Je me demande si vous croyez en ce que vous dites ?

Pour prendre l’exemple du Sida, vous savez pertinemment qu’en Afrique il y a des sujets exposés (prostituées) au virus et qui, pourtant, présentent une sérologie saine. Ce qui signifie qu’elles possèdent une défense immunitaire supérieure au commun des mortels. Ou bien l’exemple de cette île de Nouvelle Zélande, après qu’ils aient introduit des lapins sur le site sans aucun prédateur, les lapins ont dévasté la faune végétale, il n’y avait plus un seul arbre sur l’île. Un chercheur a inoculé le virus de la myxomatose pour éradiquer les intrus. Bilan ; 1% de lapins présentant une résistance au virus. Ce n’est pas le virus qui disparaît, c’est la résistance immune d’une espèce qui évolue. Virus et bactéries étant aussi appelés à évoluer pour s’adapter aux nouvelles défenses de leurs cibles.

Ce n’est pas parce que vous vous êtes jamais fait vacciner (donc avec un bon système de défense, nous sommes d’accord) que vous appartenez au 1% de l’élite immunitaire que détient chaque espèce pour assurer sa pérennité   smiley


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