Rhooooooo Onfray qui découvre que le monde va mal et qui reprend l’argumentaire de Nietzsche et de Spengler d’il y a un siècle. J’adore ces philosophes qui enfoncent des portes ouvertes, mais se contentent d’effleurer le sujet en évitant soigneusement d’évoquer les racines, pour se préserver leur présence médiatique et leur immaculée image afin d’écouler leurs bouquins dans l’usine à marchandisation qu’ils dénoncent. Ma pauvre dame, tout va mal de nos jours, mais où donc va-t-on ? PTDR