ffi 18 mai 2015 00:26

@Éric Guéguen
D’une, c’est soulant. De deux, cela montre un état extatique, hypnotique. L’affectif interfère manifestement trop dans ses réflexions, qu’ils présentent pourtant comme rationnelles : dans la même phrase, il saute du coq à l’âne, ça fait une grosse purée verbale.

C’est exactement ce style de phrasé qui m’avait fait me désintéresser de Marx à 15 ans. Je préfère ceux qui s’expriment clairement et concisément à ceux qui s’expriment confusément et verbeusement.


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