Fidol Castré Fidol Castré 11 janvier 2015 23:03

Oui, Primate résume bien la chose. Le rire ou la bouffonnerie scatophile de Charlie sont des soupapes -très petites dans le cas de Charlie c’est indéniable- de la social-démocratie oligarchique. Mais quid de la loi de 1973, de la présence éhontée et permanente depuis De Gaulle du pouvoir bancaire dans les plus hautes sphères de l’état, de la création monétaire... Il est évident que l’on se déniaise plus rapidement sur le Net que grâce au Canard ou à Charlie.

D’ailleurs il en est de même pour les quelques têtes ministèrielles qui tombent, souvent toujours par le Canard Enchaîné et depuis peu par les nouveaux contacts de la DGSI (à savoir Mediapart).
Regardez la liste par exemple, des affaires révélées par le Canard, journal lu ouvertement par des députés à l’Assemblée (les deux premières pages surtout, le côté concierge de ces messieurs dames), pour régler leurs comptes et dites-moi que beaucoup de ces révélations ne viennent pas de l’appareil d’état lui-même ou de nos mandataires républicains qui jouent à OK Corral.

Le Canard trouve son compte en terme de recettes et permet en même temps à ce système corrompu jusqu’à la moelle de perdurer.
 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe