Oui en effet et je pense que Soral vit cela comme une sorte de tension, de tragédie ou pour le moins de paradoxe "christique". Si l’on place la Tradition d’un côté (le temps d’avant l’histoire) et le marxisme (et peu importe que ce soit un critico-marxisme, car c’est la méthode intellectuelle qui importe) de l’autre côté (la fin de l’histoire), que trouve-t-on entre les deux ? Le Christ.
Cette thématique ne fonctionne qu’en Occident. Les Chinois en ont une autre, par exemple.