Je vous répondrais tel quel par mon commentaire d’hier soir, auquel vous n’aviez pas répondu :
"Le "nombre" n’était qu’un poids mort, sans aucune conscience de lui-même avant cela [1789 environ].
À présent, il se pare de tous les droits et ne perçoit même pas qu’il est l’éternel cocu de l’histoire."