@ Machiavel :
Moi, et vous le savez, je me refuse à être aussi catégorique que vous l’êtes.
J’admets le besoin de mensonges d’un côté, et j’admets le besoin de vérité de l’autre. La frontière n’est pas immuable et elle doit toujours être à la faveur de la vérité. Même si, pour cela, il faut en finir avec le principe majoritaire, poison de la démocratie contemporaine.