Cesse donc de ramener ta fraise des bois, Davideduardo. Le sketch de Verges m’a détendu les zygomatiques tout en me donnant du baume au cœur.
Besancenot quant à lui, m’a fait l’effet inverse tant dans son côté " petite bonniche " disputée par son maître fort mécontent de son travail que dans son côté victimaire où il adopte la posture du caniche terrorisé qui va se cacher sous les jupons de sa maîtresse.