ffi 7 novembre 2013 21:57

Les vices privés ne feraient-ils pas la vertu publique ?
 
Je vous propose la lecture de Dany-Robert Dufour "le divin marché" qui analyse bien ce ressort profond du libéralisme.
 
Plus profondément, je dirais que toute la pensée de notre époque tient du manichéisme.
 
Après le classicisme ou l’harmonie de beau, du bien, du vrai et du juste était vue comme le fondement de l’avenir, la pensée moderne tient que c’est le combat du bien contre le mal qui est le fondement de l’avenir (concurrence économique, lutte des espèce, lutte des classes, concurrence des partis) comme par un genre de dialectique du réel entre une thèse contre une antithèse donnerait une synthèse. C’est du manichéisme pur.
 
Mais je l’ai déjà dit de nombreuses fois et je ne vais pas me répéter.


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