Éric Guéguen Éric Guéguen 8 novembre 2013 00:28

Cette position évolue, il parle de grâce comme il parlerait du hasard de la nature. Bien sûr, c’est une brèche pour le christianisme, ce qui explique que Platon ait davantage plu qu’Aristote au Moyen Âge, Saint Thomas mis à part.
 
La vertu ne s’apprend pas pour Socrate, ça c’est une certitude. Mais il faut que je vous retrouve à l’occasion les passages concernant les vertus édifiantes du savoir. À l’occasion, pas à cette heure...
 
J’avais oublié Leibniz, en effet, Russell pour le démolir, quant à Chomski, je ne le connais pas assez. Et il y en a tellement d’autres, vis-à-vis de la politique, de la métaphysique, de l’éthique, de la poétique, de la rhétorique...


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