loph loph 4 juin 2013 16:49

Voilà bien un florilège, un festival ?


Mais tout ceci n’arrive pas à me détourner de cette considération : quelle futilité faisons-nous de nos vies, sous prétexte de conscience...

En tout cas, les tenants et les aboutissements du monde qui nous environne, voire l’universel, ne sont pas près d’être connus si tant est que cela nous intéresse, puisque nous nous perdons dans des débats où l’interprétation humaine est élevée sur un piédestal.

Mais merci quand même à frida pour la mise en ligne du rapport que j’ai lu avec un intérêt certain.

Quant à la joute verbale qu’ont entretenue les protagonistes, franchement, que change-t-elle à notre insignifiance en ce monde où rien ne tient au delà d’un certain temps d’existence ? Toutes considérations, interprétations, et cætera que nous en ayons ?

J’en conclus que nos sens nous abusent ou que nous les laissons nous abuser, que nous nous leurrons nous même, quand tout est soumis aux mêmes lois, du plus petit quark aux plus gigantesques étoiles, et à côté desquelles notre longévité ne saurait être quantifiée, rendant illusoire toute aspiration. Sauf bien sûr celle de la procréation comme seule source irremplaçable à la pérennité de la vie. Du moins, tant que le milieu ambiant le permet, et ne condamne pas irrémédiablement la poursuite du cycle vital...

Salutations

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